dissertation et argumentation

La littérature est-elle un moyen efficace pour émouvoir le lecteur et pour dénoncer les cruautés commises par les hommes ?

  • Anna Logacheva
  • 24 Nov 2023

À lire dans cet article :

dissertation et argumentation

Bac français 2024. Lors de l’épreuve écrite de français, deux exercices te sont proposés, le commentaire de texte ou la dissertation. Libre à toi de choisir celui qui te convient le mieux. Dans cet article, nous nous intéressons à la dissertation sur le thème de l’argumentation. Comment s’y prendre ? Que faire au brouillon ? Quel plan adopter ? Nous revenons avec toi sur ce thème, à l’aune du sujet suivant : La littérature est-elle un moyen efficace pour émouvoir le lecteur et pour dénoncer les cruautés commises par les hommes ?

Que faire au brouillon ?

Définir les termes du sujet.

Il faut commencer par définir très attentivement les termes du sujet : La littérature est-elle un moyen efficace pour émouvoir le lecteur et pour dénoncer les cruautés commises par les hommes ?

La littérature

Inutile de trop s’attarder sur ce terme – il faudra parler de littérature au sens large . Hors de question d’évoquer ici uniquement des textes argumentatifs , pense également aux pièces de théâtre, aux romans, aux poèmes, etc. Par contre, inutile de penser à tous les films ou à toutes les séries qui ont pu t’émouvoir dernièrement. Il est bel et bien question ici de littérature uniquement.

Un moyen efficace

La question posée t’incite donc à réfléchir sur l’efficacité de la littérature, mais comment peut-on juger de l’efficacité de quelque chose ? Il s’agirait donc de mettre en avant l’ effet de la littérature sur le lecteur . Pense à la dernière fois qu’un livre ou qu’un texte t’a marqué. À quoi cet effet était-il dû ? À défaut, pense à la dernière fois qu’un professeur t’a dit qu’un texte était particulièrement marquant et convaincant. Pourquoi l’était-il ?

Qu’est-ce que la littérature a de spécifique ? Qu’est-ce qui la rend plus efficace qu’un autre média pour émouvoir le lecteur ?

Émouvoir le lecteur

Pleurer, rire, perdre sommeil, ne plus être capable de lâcher le livre qu’on a entre les mains, etc. Comment un livre parvient-il à toucher le lecteur en plein cœur ?

Dénoncer les cruautés commises par les hommes

Il ne s’agit donc pas ici de n’importe quelle émotion : on parle toujours de dénonciation et de la cruauté. Le verbe dénoncer est ici très important. On pense de suite au genre argumentatif et aux deux outils de l’argumentation – convaincre et persuader . Mais pas seulement ! Il faudra voir s’il y a d’autres moyens, tout aussi efficaces, pour dénoncer grâce à la littérature.

Commence à lister tous les ouvrages que tu connais qui traitent de la cruauté commise par les hommes. Ne te contente pas des textes donnés dans le corpus. Tu as sûrement étudié ou déjà lu Candide de Voltaire – rappelle-toi des terribles chapitres sur la guerre !

Essaye de penser à des exemples classiques – certes il y a beaucoup de cruauté dans des ouvrages fantastiques célèbres comme Game Of Thrones par exemple (dont on ne dénigrera pas la qualité ici), mais ce ne sont pas forcément les références attendues ici. Par ailleurs, un exemple original bien amené peut encore ravir votre correcteur, mais sache qu’en général les professeurs de français, surtout au moment de la correction du bac, ne sont pas forcément friands des copies hors des sentiers battus. Ils ont des attentes et des critères à cocher pour distribuer des points, ne les déstabilise pas trop. Rigueur et méthode avant tout !

Attention, un autre défaut consisterait à vouloir tout caser. Si tu as une culture littéraire très riche, bravo et tant mieux pour toi, mais n’essaie pas par tous les moyens de mettre toutes les références que tu as pour briller devant le correcteur. Ce n’est pas l’accumulation, mais la réflexion qui compte à ses yeux. Construis bien ta copie au brouillon et identifie bien les exemples à mettre dans chaque partie pour rendre un devoir solide.

Problématiser

Ce sujet n’a pas été choisi par hasard, si des professeurs de français te l’ont proposé, c’est qu’il y a matière à réfléchir pendant toute la durée de l’épreuve. Inutile donc de faire un hors sujet pour traiter une thématique qui t’intéresserait plus.

Construction du plan

Les connaissances préalables à avoir.

Pour construire un plan, tu dois impérativement avoir à l’esprit les différentes œuvres que tu maîtrises bien sur l’argumentation.

Voici une liste non exhaustive des œuvres à connaître pour rédiger ta dissertation sur l’argumentation :

  • Les Essais de Montaigne (1580)
  • Gargantua , Rabelais (1534)
  • Les Fables de La Fontaine (1668)
  • Caractères de La Bruyère (1688)
  • Maximes de La Rochefoucauld (1665)
  • Pensées de Pascal (1670)
  • Sermons de Bossuet (1689)
  • Lettres persanes de Montesquieu (1721)
  • L’Encyclopédie de Diderot (1751)
  • Candide de Voltaire (1759), pense aussi à son Dictionnaire philosophique
  • Les Misérables de Victor Hugo (Le dernier jour d’un condamné (1821), Ruy Blas)
  • J’Accuse d’Émile Zola (1898)
  • Le Mythe de Sisyphe de Camus (1942)
  • L’Être et le Néant de Sartre (1942)

N’oublie pas d’avoir en tête les principaux enjeux du genre argumentatif :

  • XVIe siècle : Premiers écrits argumentatifs : des écrits très documentés (avec des citations de grands ouvrages de l’Antiquité (au XVIe siècle). L’homme réfléchit sur l’éducation. L’objectif premier est de convaincre par des arguments rationnels.
  • XVIIe siècle : Les écrits se font plus sarcastiques, ironiques – le but est de dénoncer de manière détournée le pouvoir en place (la littérature de l’époque c’est un peu House of Cards). Du coup Voltaire utilise énormément l’ironie, La Fontaine écrit des fables, Molière écrit des pièces de théâtre (avec des personnages caricaturaux – censés rappeler aux spectateurs leurs propres défauts).
  • XVIIIe siècle : Le grand siècle des Lumières ! L’objectif est de tout documenter, d’être aussi précis et exhaustif que possible. La littérature se fait plus philosophique.
  • XIXe siècle : L’article J’Accuse de Zola est très important ! C’est la première fois que la littérature devient ouvertement une véritable arme de combat. Avec la troisième république et son école obligatoire, de plus en plus de personnes savent lire. La presse connaît un essor sans précédent. Les écrivains ont une très bonne réputation – leur voix compte et intéresse l’opinion publique. L’article de Zola a un retentissement sans précédent. La littérature pour la première fois devient une arme politique.
  • XXe et XXIe siècle : Après les deux guerres mondiales, le monde est désabusé. La littérature se referme et devient un genre à part entière détaché de la politique. Elle se fait aussi plus philosophique. Entre les romans qui tentent de déconstruire la narration, les romans qui défendent un point de vue absurde sur le monde contemporain. La conviction laisse place à la persuasion.

Voici une liste non exhaustive de procédés littéraires à réutiliser et à connaître pour un sujet de dissertation sur l’argumentation :

  • Argumenter (défendre son point de vue – une thèse)
  • Argumentation directe (l’auteur exprime clairement son opinion en utilisant la première personne du singulier, en utilisant des exclamatives, le présent de vérité générale)
  • Argumentation indirecte (l’auteur s’exprime dans un cadre fictif – par exemple la Fable)
  • Convaincre (utiliser des arguments rationnels)
  • Persuader (créer de l’émotion chez le lecteur)
  • Délibérer (penser le pour et le contre)
  • Faire un éloge (vanter les mérites et les avantages d’une situation)
  • Faire un blâme (dénigrer)
  • Pensez à l’apologue (discours court sur une valeur morale), la fable, le conte de fées, le conte philosophique, le roman philosophique, la parabole, la dystopie, le roman fable)
  • Pensez aux différents outils argumentatifs (les hyperboles, l’ironie, la narration, le pathétique, le satirique)
  • Pensez à la structure très définie de certains textes argumentatifs (dans l’art de la rhétorique, le texte est avant tout construit dans un souci de dispositon : il commence par une exorde (comme une accroche), la narration (le développement), la confirmation et la péroraison (la conclusion).

Une fois que tu as tous ces éléments en tête, tu peux te lancer dans la construction de ton plan . Le plan reste généralement très classique. N’hésite pas à consulter nos articles sur les ruptures dans la littérature pour comprendre comment l’histoire a influencé l’histoire de la littérature et l’évolution des genres littéraires.

  • La première partie répond au sujet – elle lui donne raison.
  • La deuxième partie opère ce qu’on appelle un renversement dialectique – le fameux “oui mais”. Même si on a démontré dans la première partie ce que c’était le cas, voici tout ce qui démontre que ce ne l’est pas.
  • La troisième partie va plus loin – puisque la première idée n’est plus juste, il faut trouver une nouvelle formulation pour que cette idée reflète bien la réalité.

Attention à ne pas partir dans des abstractions trop lointaines du sujet dans cette dernière partie.

La pratique

En pratique, dans notre dissertation sur l’argumentation, voici un plan très classique qu’on pourrait adopter :

I – La littérature est un moyen efficace pour émouvoir le lecteur et dénoncer les cruautés commises par les hommes

On va se demander dans cette première partie pourquoi cette phrase est-elle juste ? Il y a plein d’arguments possibles ! Voici une liste non exhaustive d’arguments à laquelle vous auriez pu penser.

A – La littérature, grâce à sa diversité de genres, propose différents moyens d’émouvoir le lecteur (là tu peux citer tous les différents genres littéraires liés à l’argumentation ou non). Rappelle-toi par exemple du poème le Dormeur du Val de Rimbaud ou encore le poème à la Mère de l’enfant mort de Victor Hugo. Ces deux poèmes ne sont pas des textes argumentatifs. Par l’utilisation du registre pathétique (phrases exclamatives, interrogatives, interjections, énumération d’adjectifs décrivant la souffrance des personnages) et de l’hyperbole (tout est exagéré), le lecteur est emporté par le tragique du poème et se révolte lui aussi contre la cruauté humaine.

B – La littérature permet aux écrivains de persuader leurs lecteurs pour les émouvoir et les faire réfléchir. Pense ici à tous les écrits par exemple de Voltaire. Grâce à l’ironie, l’écrivain crée une distanciation, il n’accuse pas quelqu’un directement, il le fait d’une manière détournée. Voltaire peut utiliser ainsi sa plume incisive en adoptant le regard naïf de Candide , pour dénoncer toute la cruauté du monde. (C’est quand même très mal de ne pas accuser les rois directement, mais adopter le point de vue d’un simplet pour dénoncer les injustices de son époque.)

C – La littérature permet d’émouvoir les foules grâce au statut de l’écrivain, qui est un intellectuel qui affirme son opinion. Rappelle ici que dans les textes argumentatifs, la première personne du singulier est souvent utilisée, que les auteurs recourent à des arguments d’autorité comme les textes anciens (rappelle-toi bien des textes du corpus pour les citations latines), qu’ils affirment leur opinion et soulèvent les foules (pense à l’article J’Accuse de Zola).

Il y a deux choix pour la deuxième partie : soit tu peux dire que la littérature est plus que ça, soit tu peux considérer les limites de la littérature comme moyen de dénonciation des cruautés de ce monde. Nous traiterons ensemble ici ce deuxième aspect du sujet.

II – La littérature ne permet parfois pas d’émouvoir le lecteur pour dénoncer les cruautés de ce monde

A – L’émotion seule ne permet pas forcément de lutter contre les cruautés de ce monde. Les textes argumentatifs très convaincants qui se basent sur des arguments réels poignants peuvent être plus efficaces. Convaincre > persuader. Un texte très modalisé et construit, avec de nombreuses références comme les Essais de Montaigne peut avoir plus d’impact sur certains lecteurs qu’une fable de La Fontaine.

B – Certaines cruautés humaines ne peuvent même pas être décrites et traduites dans un texte littéraire. Pense aux conséquences atroces de la Seconde Guerre mondiale. Pensez par exemple au Voyage au bout de la nuit de Céline ou encore au roman À l’ Ouest rien de nouveau d’Erich Maria Remarque ou au Feu de Barbusse, certaines atrocités ne peuvent pas être formulées, parfois la cruauté devient même tellement normale qu’elle ne peut plus émouvoir.

C – La littérature dans son intégralité n’est pas destinée à dénoncer les inégalités dans le monde. La littérature peut exister pour elle-même. Écrire pour dénoncer, ne serait-ce pas là une façon de ne plus faire de la littérature ? Pense au mouvement l’Art pour l’art, comme le Parnasse par exemple ou encore le mauvais roman.

III – La littérature permet de dénoncer la cruauté humaine à jamais, mais ce n’est pas à la littérature de sauver le monde de la cruauté

A – Pense à la figure de l’écrivain philosophe par opposition à l’écrivain politicien du XIXe siècle. L’écrivain joue un rôle à part entière dans la société. Il peut dénoncer, mais il reste l’albatros ailé qui survole le monde et livre aux hommes sa vision. Pense à Montaigne qui, pour écrire ses Essais, s’est isolé dans une tour. La littérature est un élément déclencheur, c’est aux hommes, par la suite, de prendre la relève.

B – La littérature permet en revanche d’immortaliser ce qu’elle dénonce grâce aux sentiments intemporels qu’elle transmet au lecteur. On étudie encore les Fables de la Fontaine, on lit encore Candide de Voltaire. Ces textes résonnent encore dans le monde d’aujourd’hui parce que les figures allégoriques qu’ils mettent en scène, le procédé de l’ironie ou encore les figures de style qu’ils utilisent restent intemporels et touchent tous les lecteurs.

C – La littérature ne devrait pas exister dans le simple but de dénoncer – elle fait réfléchir l’homme. Rappelle ici les principaux procédés de l’argumentation, cite un texte qui t’a marqué dernièrement, montre que tu aimes lire et que la littérature peut avoir un effet sur toi.

Lire aussi :  Bac français 2024 : les œuvres au programme

Voici un ensemble d’objectifs à garder à l’esprit le jour J. L’épreuve du bac est très basique. Retiens bien cela ! On teste tes compétences. C’est tout. On regarde si tu as bien appris ton programme, si tu connais les œuvres clés et si tu es capable d’appliquer la méthode. N’essaie pas d’être original(e), coche les cases pour récupérer tous les points et décroche la note de tes rêves. Tu pourras toujours assouvir tes envies de devenir critique littéraire plus tard, après le baccalauréat.

Les objectifs de forme

La forme est très importante. Mets-toi dans la peau d’un correcteur. Il a plusieurs énormes paquets de copies à corriger. Il est payé en moyenne 0,75 € par copie, à peine 5 € de l’heure. Il n’a pas choisi d’être là. Il fait son devoir envers l’éducation nationale – il a été désigné pour corriger ces copies. Il est 22h30. Il a passé sa journée à essayer de déchiffrer l’écriture tout à fait incompréhensible de certains candidats, à lire des atrocités (qui l’ont peut-être fait rire au début, mais au bout de deux-trois copies c’est plus déprimant que drôle), à essayer de ne plus voir les nombreuses fautes d’orthographe et de grammaire éparpillées dans les copies, à rager parce que certains candidats ont oublié la conclusion, n’ont rendu qu’un paragraphe, n’ont pas traité le sujet, n’ont cité aucune œuvre ou ont simplement rendu copie blanche. Il est fatigué. C’est le moment fatidique. Arrive ta copie. Observons ensemble deux cas de figure.

Cas de figure 1 : La copie est mal écrite, il n’y a pas de saut à la ligne, les paragraphes ne sont pas clairs, les titres des œuvres ne sont pas soulignés, on ne voit pas du tout la structure de la copie et dès la première ligne il y a déjà une faute d’orthographe. Notre cher professeur est dans les pires dispositions pour corriger ta copie. Il n’a d’ores et déjà aucune envie de te mettre une notre supérieure à 12. Il se prépare mentalement pour la corvée qui lui incombe, se sert un café, soupire. La soirée va être longue.

Cas de figure 2 : Quelle copie magnifique ! On voit du premier coup d’œil une introduction de 5-6 lignes, trois paragraphes de développement et une conclusion. La copie est aérée, avec des sauts à la ligne (parfois deux lignes pour l’aérer encore davantage), des alinéas. L’écriture est soignée. Tout est là. Le correcteur sourit intérieurement, il est dans les meilleures dispositions pour lire ta copie, prêt à te mettre une excellente note si le raisonnement et les références sont là. Il se sert un café, s’arme de son stylo, prêt à valoriser ton travail.

Ce qu’il faut absolument faire

  • Bien avoir une introduction, une conclusion et trois parties (ou deux) – mais n’oublie jamais la conclusion.
  • Bien aller à la ligne entre chaque paragraphe (les lignes sont petites sur les copies de l’examen – n’hésite pas à en sauter deux).
  • N’oublie jamais l’alinéa.
  • Souligne bien les titres des œuvres que tu cites.
  • Relis-toi bien pour éviter les coquilles et les fautes d’orthographe.

Les objectifs de contenu

  • Ne jamais juxtaposer des citations d’auteurs apprises par cœur.
  • Bien citer des œuvres au programme et des œuvres du corpus.
  • Bien construire le plan au brouillon pour avoir un plan clair et au moins un exemple pour chaque partie (c’est là que tu vois si ton plan est valable ou non).
  • Dans l’introduction, bien avoir l’accroche, la problématique et le plan.
  • Dans le développement, avoir trois parties claires avec des transitions entre chaque partie.
  • Dans la conclusion, bien rappeler le sujet et ta réponse.

Respecte bien ces quelques consignes, révise bien tes exemples et les procédés, et cela est certain, tout se passera bien le jour J. N’hésite pas à consulter notre article sur le commentaire de texte sur l’argumentation !

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La thèse, les arguments et les exemples

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Les arguments

La place des exemples, les types des exemples.

La thèse est l’idée  défendue  par l’auteur dans le texte. On l’appelle thèse  initiale  /  première  /  soutenue  /  défendue . Elle répond à la question : que veut démontrer l’auteur dans son texte ?

La thèse initiale s’oppose à une thèse  adverse  /  antithèse .

Ces deux thèses peuvent être  explicites  ou  implicites ;  c’est-à-dire on les recherche soit par leur mention explicite (le plus souvent énoncé en début), soit par le but général poursuivi par l’ensemble de l’argumentation.

Pour démontrer sa thèse, l’auteur fait appel à des  arguments . Les arguments sont les raisons de fond qui sont avancés pour  justifier  sa thèse et  convaincre  le lecteur. Il faut les distinguer des  figures rhétoriques  qui cherchent à persuader par la forme (beauté du discours, force des images…). Comme la thèse, les arguments s’opposent à des  arguments adverses  explicites ou non. Chaque argument principal peut s’accompagner d’arguments secondaires qui précisent l’explication.

Les exemples

L’exemple  permet  d’illustrer  une thèse ou un argument d’une thèse. À l’inverse de l’argument qui a une portée générale, l’exemple expose toujours un cas particulier. L’exemple vient illustrer la pertinence de l’argument à travers un cas concret, dans une application vérifiable. L’exemple seul ne peut pas justifier une thèse. Lorsqu’un exemple contredit une idée générale (c’est-à-dire soutient une thèse adverse), on l’appelle un  contre-exemple .

Lorsqu’un exemple  suit  une idée dans un texte argumentatif, il l’éclaire, la précise et est un exemple illustratif . Cependant il est introduit par des formules telles que :  par exemple, ainsi, tel que, comme en témoignage ….

Si l’exemple  précède  l’idée, il présente un cas concret et permet de tirer un enseignement général, un argument ou une conclusion. on l’appelle exemple argumentatif .

●  L’exemple personnel :  offre un témoignage direct mais ne permet de tirer aucune loi générale. ●  L’exemple littéraire :  la référence à un livre, un film, une pièce de théâtre, un tableau…, donne un support concret à un argument et permet de le développer. ●  L’exemple historique :  permet un rapprochement avec le passé et il a l’avantage d’être un fait avéré et déjà analysé. ●  L’anecdote :  introduit dans l’argumentation une impression de vie et parfois une note d’humour. ●  Les statistiques :  les chiffres, les données économiques (à condition d’être vérifiées) donnent un fondement scientifique au discours argumentatif. ●  La fable , le mythe  :  rendent plus concrète une idée grâce à un récit. ●  L’image , la comparaison  :  éclairent une idée difficile à comprendre en la représentant visuellement.

→  Fiche technique :  Comment choisir un exemple ?

Méthodes et techniques

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  • Rhétorique et style .
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  • Analyser un mot . – Analyser une phrase . – Analyser un texte .
  • Autres rubriques : Grammaire . – Expression . – Conjugaison . – Vocabulaire . –  Orthographe .

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  • Plan de dissertation

Plan de dissertation : méthodologie et exemples

Publié le 27 novembre 2018 par Justine Debret . Mis à jour le 14 février 2022.

Le plan d’une dissertation est la structure ou le “squelette” de votre dissertation.

Table des matières

Combien de parties pour un plan de dissertation , plan de dissertation : apparent ou pas , les types de plan pour une dissertation, exemple de plan pour une dissertation (de philosophie), le plan d’une dissertation juridique, le plan d’une dissertation de philosophie.

Nous conseillons de faire un plan en trois parties (et deux sous-parties) pour les dissertations en général.

Toutefois, ce n’est pas obligatoire et vous pouvez le faire en deux parties (et trois sous-parties).

C’est différent pour les dissertations de droit ! Pour les dissertations juridiques, le plan doit contenir deux parties (et pas trois).

Quel est votre taux de plagiat ?

En 10 minutes, vous pouvez savoir si vous avez commis du plagiat et comment l’éliminer.

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Faites la détection anti-plagiat

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Le plan d’une dissertation peut être apparent ou non, tout dépend du type de dissertation rédigé.

Les dissertations de philosophie n’ont en général pas de plan apparent. Les titres apparaissent dans une phrase introductive.

Attention ! Pour les dissertations juridiques, les titres doivent être apparents et ils ne doivent pas comporter des verbes conjugués.

Il en existe plusieurs et chaque type de plan de dissertation a ses spécificités.

1. Le plan d’une dissertation dialectique

Le plan dialectique (ou critique) est un plan « thèse, antithèse et synthèse ». Il est utilisé lorsque l’opinion exprimée dans le sujet de dissertation est discutable et qu’il est possible d’envisager l’opinion inverse.

Le plan d’une dissertation dialectique suit le modèle suivant :

I. Exposé argumenté d’une thèse. II. Exposé argumenté de la thèse adverse. II. Synthèse (dépassement de la contradiction)

2. Le plan de dissertation analytique

Le plan analytique permet d’analyser un problème qui mérite une réflexion approfondie. Vous devez décrire la situation, analyser les causes et envisager les conséquences. Il est possible de faire un plan « explication / illustration / commentaire ».

Le plan d’une dissertation analytique suit généralement le modèle suivant :

I. Description/explication d’une situation II. Analyse des causes/illustration III. Analyse des conséquences/commentaire

3. Le plan de dissertation thématique

Le plan thématique est utilisé dans le cadre de questions générales, celles qui exigent une réflexion progressive.

I. Thème 1 II. Thème 2 III.Thème 3

4. Le plan de dissertation chronologique

Le plan chronologique est utilisé dans le cas d’une question sur un thème dont la compréhension évolue à travers l’histoire.

I. Temporalité 1 II. Temporalité 2 III. Temporalité 3

Voici un exemple de plan analytique pour une dissertation sur le thème «  l’Homme est-il un animal social ? « .

1. La nature en nous 1.1. L’être humain, un animal parmi les autres ? 1.2. Les pulsions humaines comme rappel de notre archaïsme ? 2. La personne humaine : un être de nature ou de culture ? 2.1. La société comme impératif de survie : l’Homme est un loup pour l’Homme 2.2. La perfectibilité de l’Homme l’extrait de la nature 3. Plus qu’un animal social, un animal politique 3.1. L’Homme, un être rationnel au profit du bien commun 3.2. La coexistence humaine et participation politique du citoyen

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Les dissertations juridiques sont construites en deux parties et ont un plan apparent.

Le plan a une forme binaire  : deux parties (I et II), deux sous-parties (A et B) et parfois deux sous-sous-parties (1 et 2). Votre plan de dissertation doit reposer sur quatre idées principales.

Plus d’informations sur le plan d’une dissertation juridique

Les dissertations de philosophie sont construites en trois parties (en général) et n’ont pas de plan apparent.

Chaque partie est introduite avec une phrase d’introduction.

Plus d’informations sur le plan d’une dissertation de philosophie

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Debret, J. (2022, 14 février). Plan de dissertation : méthodologie et exemples. Scribbr. Consulté le 25 septembre 2024, de https://www.scribbr.fr/dissertation-fr/plan-de-dissertation/

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Identifying an argument

Ultimately, you are aiming to produce a series of propositions in relation to your material: usually a main proposition (thesis or argument) with some sub-propositions.

Asking yourself the following questions may help you think critically about your material and identify some potential arguments:

  • How can I bring together the various different ideas that interest me about my topic?
  • What difficulties am I experiencing in organising my material, comparing texts or coming to conclusions about them? Are these difficulties significant, i.e. do they tell me something interesting about the nature of the material I am dealing with?
  • Did my reading and research throw up anything unexpected?
  • What are the polemical aspects of this topic? How can I bring out those contradictions, account for them or investigate them further?
  • How do my interpretations converge or diverge from analysis that has already been published on the topic?
  • Does my analysis support one or more viewpoints in an existing critical or theoretical debate in the wider field?

Writing summary statements

You need to reach the stage at which you can reduce your argument(s) down to one or more full sentences. Imagine explaining the central idea of your dissertation to a supervisor or fellow student. Try to express your main argument in a couple of summary sentences, and then expand these into four or five sentences, giving greater detail or including sub-points. It is best to have a draft of your summary sentences ready before you start writing, as this will dictate how you should organize your material. But it is entirely normal (and very healthy!) for your ideas to change as you start writing. If that happens, simply go back to your summary and your plan and make sure they reflect your current thinking. It is also very common (and again, a good sign) for your argument to change or develop quite radically after you have composed your first draft. Think of it as a continual, circular process: of refining your summary argument(s), which leads to changes in your written draft, which lead to further refinements of your argument(s), which lead to more alterations to the draft, etc.

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Commentaire et dissertation

Argument et argumentation.

ArArgument/argumentation: d’abord, un texte argumentatif s’organise autour d’une thèse étayée par des arguments qui peuvent relever de plusieurs types. Il existe ainsi différentes sortes de textes argumentatifs . Comment analyser ces arguments? Pourquoi s’intéresser au genre du texte argumentatif?

dissertation et argumentation

1)Argumenter

A/ convaincre, délibérer, persuader.

Cela consiste à soutenir , réfuter, discuter une thèse. Ainsi convaincre, persuader et délibérer sont trois stratégies argumentatives bien différentes.

– Convaincre  : ce type d’argumentation consiste à emmener une personne à penser comme ce qui parle, pour cela le locuteur utilise des arguments . En conclusion convaincre suppose de s’adresser à la raison du destinataire .

Exemple : on peut essayer de convaincre quelqu’un qu’il ne faut pas boire et prendre sa voiture en lui montrant les chiffres des accidents obtenus par la sécurité routière.

– Persuader . C’est entraîner l’adhésion d’un interlocuteur à sa thèse en s’appuyant sur l’émotion. Il s’agit alors d’émouvoir, apitoyer… En conclusion persuader s’adresse à l’imagination et aux sentiments du destinataire.

Exemple : essayer de persuader un ami d’aller au cinéma en jouant sur les bons moments passés ensemble et sur la connivence.

– Délibérer . C’est effectuer un choix. Il s’agit alors de poser le pour et le contre pour parvenir à effectuer un choix . Le locuteur s’adresse à la raison et aux sentiments mais il évolue entre les deux pôles pour prendre sa décision. Exemple : le choix du Cid dans la pièce de Corneille.

B/ les arguments

B/ les arguments L’argument est une idée qui permet de défendre, soutenir une thèse. Un argument qui sert à critiquer une thèse s’appelle un contre argument , Il est utilisé pour la réfutation.

Il existe différents types d’arguments : – d’abord l’argument logique : c’est un raisonnement de l’auteur, fondé sur la logique du discours. Exemple : Si 10% des élèves échouent, il faut avoir confiance car 90% réussissent.

– puis l’argument d’autorité  : il s’impose de force car il s’appuie sur des références communes, culturelles, connues de tous qui apparaissent comme des évidences. Exemple : L’amour est synonyme de souffrance comme le dit Aragon « il n’y a pas d’amour heureux ».

–ensuite l’argument d’expérience  : il se fonde sur le recours à des témoignages, à des exemples concrets. Exemple : Il faut absolument s’entraîner à rédiger rapidement, j’en ai fait l’expérience au devoir commun où je n’ai pas pu terminer mon paragraphe.

–enfin l’argument ad hominem : (l’argument qui s’en prend à l’homme, si l’on traduit du latin) il consiste à décrédibiliser l’adversaire à s’attaquer à son physique, à son vécu… Exemple : On voit dans les caricatures de Louis Philippe que son pouvoir est raillé à partir de la référence à la pomme.

C/les exemples

D’abord les exemples sont utilisés pour illustrer, faire comprendre concrètement ce qui pourrait être abstrait autrement. Ils permettent de vérifier une idée. – l’exemple illustratif c’est-à-dire un cas particulier qui vérifie l’idée générale défendue par un argument. Exemple : Les Fables de La Fontaine utilisent des végétaux pour mieux parler des êtres humains comme dans « Le chêne et le roseau ». – L’exemple démonstratif : on se sert alors du cas particulier pour en déduire une idée générale. Exemple : on parle alors de l’expérience individuelle pour créer une généralité. Les Essais de Montaigne s’appuient sur une expérience personnelle ainsi la forme de l’ essai s’appuie sur le vécu.

2) Argument/argumentation: les différents types de raisonnement

–d’abord, le raisonnement déductif : il permet de tirer une conséquence à partir d’une idée d’une loi générale. Exemple : Tous les hommes sont mortels donc Socrate est mortel.

– puis, le raisonnement inductif  : il part au contraire d’une observation particulière pour aboutir à une conclusion générale. Exemple : Socrate est mortel, on peut donc en déduire que tous les hommes sont mortels.

–ensuite, le raisonnement par analogie  : il consiste à opérer un rapprochement entre deux domaines distincts. Exemple : Les végétaux sont mortels et les humains, comme eux, vivent et meurent.

– Le raisonnement par syllogisme est une forme particulière de raisonnement déductif. Effectivement il consiste à annoncer deux propositions et troisièmement une conclusion. Exemple : tous les hommes sont mortels Or Socrate est un homme Donc Socrate est mortel.

– Le sophisme  : C’est un type de raisonnement falsifié donc trompeur qui aboutit à une conclusion erronée.

On peut prendre à titre d’exemple le faux syllogisme :Tous les chats sont mortels. Or Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat.

3)Argument/argumentation: Argumentation directe et argumentation indirecte

A/l’argumentation directe.

Tout d’abord, dans les essais , les lettres ouvertes ou les articles, les auteurs défendent explicitement un point de vue : ils ont recours à l’argumentation directe.

–origine de l’ essai : Issu du mot latin exagium, peser. Au Moyen Âge on introduit la notion d’expérimentation. Au XVIeme siècle Montaigne crée le genre littéraire de l’essai. C’est un ouvrage en prose qui traite d’un sujet de manière argumentative. –L ’essai ne relève pas de la fiction. Il consiste de plus à développer une thèse.

Le dialogue

D’abord il est issu d’une tradition philosophique qui renvoie à l’Antiquité et aux dialogues de Platon. Ensuite, le dialogue permet à travers un entretien de comprendre la thèse et l’antithèse. Il permet aussi de montrer la pensée dans toute sa complexité, d’utiliser des exemples pour illustrer des arguments.

B/L’argumentation indirecte

D’abord dans un conte philosophique,une fable, ou même un roman, les auteurs se servent d’un récit pour appuyer leurs idées. Alors, l’argumentation est en partie implicite : ils utilisent l’argumentation indirecte.

Le mot latin « fabula » signifie récit. Au Moyen Âge le mot est utilisé pour désigner une histoire. Ainsi La Fontaine fait revivre le genre de la fable au XVIIème siècle. C’est un petit texte en vers qui commence par un récit léger. Ensuite La fontaine reprend une tradition qui date de l’Antiquité avec Esope et Phèdre. De plus c’est un récit qui donne envie aux animaux et aux végétaux. Il est généralement écrit avec différents types de vers ( des alexandrins, octosyllabes, décasyllabes) pour créer un dynamisme et jouer sur les différentes sortes de discours. Enfin la fable a une vocation didactique comme le montre la morale.

Le conte philosophique

D’abord il naît au XVIIIe siècle avec les philosophes des Lumières, Voltaire lui donnera ses lettres de noblesse. Ensuite le conte philosophique combine différents textes existants tels que les contes de fées, les contes moraux etc. Comme dans la fable, il mêle le vraisemblable et le merveilleux. En outre il a une vocation philosophique. De plus, il interroge des sujets tels que : le pouvoir, les cultures, l’exotisme, le bonheur etc..

Tout d’abord, c’est un genre qui naît au XVIe siècle avec Thomas More qui imagine la gouvernance idéale d’une île imaginaire. Puis au XIXe siècle mais surtout au XXe siècle des auteurs en particulier anglo-saxons réinvestissent ce genre de l’ utopie est interrogeant un monde meilleur. De plus certains auteurs utilisent même le contre-pied, la dystopie ou contre-utopie pour critiquer les mondes totalitaires.

Enfin si tu as des remarques ou des questions, n’hésite pas à commenter en dessous et à noter cet article.

Pour aller plus loin:

-Guide complet des genres littéraires

-Les genres littéraires (fiche synthétique)

– Dissertation sur L’efficacité argumentative de l’apologue: Les Fables de La Fontaine (livres VII à XII)

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  • Comment faire une dissertation ?
  • Comment faire un plan de dissertation ?
  • Comment faire une introduction de dissertation ?
  • Comment faire une conclusion de dissertation ? 
  • Quelles sont les dissertations les plus demandées par les profs ?

Au lycée, la dissertation est toujours un exercice qui fait peur. Les consignes et les attentes des profs paraissent souvent abstraites. C’est pourquoi, lors de l’ épreuve du bac , les élèves choisissent majoritairement le commentaire de texte. Pourtant, la dissertation permet plus facilement de décrocher une mention. D’abord parce qu’on se démarque des autres et ensuite parce que les correcteurs sont souvent plus indulgents. Mais alors comment s’y prendre ?  Est-ce qu’il faut donner son avis ou simplement réciter son cours ? Comment construire un plan et rédiger l’intro ? GoStudent te guide dans toutes les étapes de ta dissertation !

Méthode dissertation français

1 - C'est quoi une dissertation ?

Dissertation définition .

La dissertation est un exercice d’argumentation qui consiste à répondre à la question posée en suivant un plan (généralement organisé en trois parties) et après avoir dégagé une problématique.

Petite histoire de la dissertation

La dissertation existait déjà au Moyen Âge ! Appelé « disputatio », l’exercice consistait en un débat durant lequel les étudiants devaient répondre à une question en trois grandes parties. C’est de là que vient le fameux plan « thèse / antithèse / synthèse ». 💡

Reprise par Descartes, la dissertation devient le symbole de la raison, valeur centrale de la pensée humaniste à la Renaissance.

Aujourd’hui, cet exercice n’est proposé qu’à partir du lycée. D’abord en français et en histoire-géographie, puis en philosophie. Le but n’est pas de réciter son cours. Il faut organiser sa pensée, suivre un fil conducteur, choisir des arguments pertinents et apporter des exemples. 

La dissertation au bac 

La dissertation de français est l’un des sujets proposés aux élèves de la série générale et technologique. L’autre étant le commentaire de texte . Concrètement, au bac de français, tu as quatre heures pour traiter un sujet, noté sur 20 et de coefficient 10.

Pour réussir, il est indispensable de bien maîtriser son cours et toutes les notions au programme. Par exemple, en Français, tu dois bien maîtriser les différents procédés littéraires et les figures de style. En philosophie, il faut connaître les concepts fondamentaux relatifs à des thèmes tels que l’État, la justice, le langage, la liberté, la vérité, etc.

À lire aussi : Comment rédiger un essai parfait ?

2 - Comment faire une dissertation ?

Pour un contrôle d’histoire-géo ou pour l’ épreuve du bac de Français , la méthode de la dissertation est assez comparable. 

Dans un premier temps, tu dois analyser le sujet. Est-ce une question à laquelle on peut répondre par oui ou par non, ou est-ce une question ouverte ?   Cela va influencer la façon de construire le plan. 🛠

Ensuite, tu peux commencer à traiter le sujet et à dégager un plan. Pour cela, il est conseillé de noter des arguments et des exemples au brouillon pour bien structurer tes idées et te permettre de rédiger une introduction.

1 - L’introduction

Si l’on suit la méthodologie de la dissertation , l’introduction a deux grands objectifs : attirer l’attention du lecteur, formuler et dégager une problématique.

2 - Le développement 

Les différentes parties du développement (deux ou trois) sont subdivisées en plusieurs paragraphes qui visent à répondre à la problématique grâce à des arguments.

3 - La conclusion 

La conclusion fait le bilan des grandes idées soutenues dans ton développement. 

Avant de rendre ta copie, l’étape de la relecture est nécessaire pour corriger toutes tes fautes de grammaire ! 🧐

Exemples de dissertation

Pour bien comprendre ce qu’on attend de toi et pour t’entraîner sur des sujets de dissertation , plusieurs sites validés par notre rédaction te propose des exemples de dissertation et leurs corrigés : 

  • La référence dans le domaine est Annabac. En version Web ou papier, tu as accès à des fiches de révision sur tous les thèmes du programme ainsi qu’aux annales des dernières années.
  • Studyrama te propose des exemples de dissertations corrigés en histoire-géo.
  • la-philosophie.com publie également des sujets de dissertation et te guide étape par étape.

3 - Comment faire un plan de dissertation ?

Trois grands types de plan de dissertation s’offrent à toi pour organiser tes idées :

1 # Le plan dialectique est le plus connu : thèse / antithèse / synthèse. C’est celui qu’il faut choisir si le sujet est une question fermée. C’est un plan qui invite à la confrontation des idées. 🥊

Par exemple, pour le sujet « l’intérêt du roman est-il de décrire le réel ?», on pourrait suivre ce plan  :

I - Le roman permet de décrire le réel (on commence par soutenir cette thèse).

II - Mais un roman n’est pas réductible à description du réel (on nuance la thèse).

III - L’intérêt du roman n’est-il pas justement de donner une dimension réelle à l’imagination de l’auteur ? (On dépasse la contradiction).

2 #  Le plan thématique est utilisé en réponse à une question ouverte. Chaque partie présente une réponse possible à la question. Le but est donc de soutenir un point de vue en donnant des arguments. Il ne s’agit pas d’entrer dans une confrontation. En règle générale, il est conseillé d’organiser ses idées de la plus générale à la plus précise.

3 #  Le plan analytique n’est pas utilisé en Français, mais il peut l’être en SES ou en histoire-géo, par exemple. La structure typique se présente sous la forme « problème - causes - conséquences ». 

4 - Comment faire une introduction de dissertation ?

L’introduction de la dissertation est une partie décisive dans laquelle tu présentes le sujet, tu exposes la problématique et tu présentes les différentes parties de ton raisonnement. Il faut à la fois retenir l’attention du lecteur et montrer la pertinence du sujet. 📝

Structure de l'introduction

L’introduction elle-même se divise en plusieurs sous-parties :

  • Une phrase d’accroche qui permet d’entrer dans le sujet. C’est souvent un chiffre, un fait divers ou une citation.
  •  La reformulation du sujet . Il s’agit de reformuler la question avec tes propres mots pour présenter le sujet et montrer que tu as compris de quoi on parle.
  • La problématisation consiste en une phrase qui pose le problème soulevé par la question.
  • L’ annonce du plan . En une ou deux phrases, tu présentes les grandes parties de ton développement, en utilisant des connecteurs logiques : « dans un premier temps », « puis dans une seconde partie », etc.

Les erreurs à ne pas faire 

Parmi les pièges à éviter, il ne faut pas :

  • Répondre à la problématique dès l’introduction.
  • Oublier de suivre le plan annoncé.
  • Faire une phrase d’accroche trop longue.
  • Rédiger une problématique hors sujet.

5 - Comment faire une conclusion de dissertation ? 

Quelle que soit la discipline (français, philo, SES, etc.), rédiger une conclusion parfaite obéit toujours aux mêmes règles :

  • En quelques phrases, tu fais la synthèse des idées que tu as développées dans  ta rédaction.
  • Dans un second temps, il faut répondre à la problématique que tu as soulevé.
  • Enfin, tu dois rédiger une phrase d’ouverture. Celle-ci consiste en un « élargissement » du sujet. Concrètement, il s’agit d’une nouvelle question que tu te poses à la fin de ton travail. Pour cela, tu peux à la fois te baser sur la dissertation que tu viens de faire et sur ta culture générale . 📚

N’oublie pas que la mise en forme de la conclusion d’une dissertation est aussi importante que pour le reste de la copie. Par exemple, il faut sauter deux lignes entre la fin de ta dernière partie et le début de ta conclusion,  faire des transitions et ne pas négliger l’orthographe.

6 - Quelles sont les dissertations les plus demandées par les profs ?

Parmi les nombreux sujets de dissertations, on retrouve quelques grands classiques que les professeurs donnent pendant l’année scolaire ou le jour du bac. 

Dissertation la princesse de Cleve

Au programme du bac de Français 2022, La Princesse de Clève est un roman écrit par Madame de La Fayette et publié anonymement en 1678. Pourquoi anonymement ? Parce qu’au 17ème siècle, il n’était pas admis qu’une femme puisse signer une oeuvre de son nom. 🚫

Pour t’entraîner sur un exemple de sujet, tu peux te rendre sur le site de sujetscorrigésbac.fr . 

Dissertation les fleurs du mal

Charles Baudelaire et Les fleurs du mal , recueil de poèmes publié en 1857, font partie de l’objet d’étude « Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle », au programme de français dans le parcours « Alchimie poétique : la boue et l'or ». 

Et comme l’indique le nom du parcours, tu peux t’attendre à un sujet qui parle de boue et d’or ! 

Exemples de sujet : 

  • « Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or»
  • « Le poète doit-il nécessairement tremper sa plume dans la boue ? » 
  • « S’agit-il de tremper sa plume au plus profond de l’âme humaine pour en faire une œuvre d’art ?  »

Dissertation le malade imaginaire

Au programme de l’objet d’étude « Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle », parcours « Spectacle et comédie », Le malade imaginaire de Molière interroge les élèves sur le rapport au spectacle. 

Exemples de sujets de dissertation :

  • « Toute comédie est-elle un divertissement ? »
  • « Le Malade Imaginaire : une comédie fantaisiste ? »

Dissertation les fausses confidences

Toujours dans l’objet d’étude « Le théâtre du XVIIe siècle au XXIe siècle », Les fausses confidences est une comédie de Marivaux jouée pour la première fois en 1737. Tu pourras être interrogé sur un  sujet tels que : « Le stratagème est-il un ressort du comique ? »

Un dernier conseil

On te dit toujours de ne pas attendre la dernière minute pour réviser . Mais, on ne va pas se mentir, c’est difficile de se motiver. Surtout quand on voit le soleil qui brille dehors ! ☀️

Alors, pour te faire gagner du temps et pour mettre toutes les chances de ton côté, n’hésite pas à prendre quelques heures de soutien scolaire avec nos professeurs particuliers . Disponibles même au dernier moment, ils sauront répondre à toutes tes questions pour rédiger une super dissertation !

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Argument and Argumentation

Argument is a central concept for philosophy. Philosophers rely heavily on arguments to justify claims, and these practices have been motivating reflections on what arguments and argumentation are for millennia. Moreover, argumentative practices are also pervasive elsewhere; they permeate scientific inquiry, legal procedures, education, and political institutions. The study of argumentation is an inter-disciplinary field of inquiry, involving philosophers, language theorists, legal scholars, cognitive scientists, computer scientists, and political scientists, among many others. This entry provides an overview of the literature on argumentation drawing primarily on philosophical sources, but also engaging extensively with relevant sources from other disciplines.

1. Terminological Clarifications

2.1 deduction, 2.2 induction, 2.3 abduction, 2.4 analogy, 2.5 fallacies, 3.1 adversarial and cooperative argumentation, 3.2 argumentation as an epistemic practice, 3.3 consensus-oriented argumentation, 3.4 argumentation and conflict management, 3.5 conclusion, 4.1 argumentation theory, 4.2 artificial intelligence and computer science, 4.3 cognitive science and psychology, 4.4 language and communication, 4.5 argumentation in specific social practices, 5.1 argumentative injustice and virtuous argumentation, 5.2 emotions and argumentation, 5.3 cross-cultural perspectives on argumentation, 5.4 argumentation and the internet, 6. conclusion, references for the main text, references for the historical supplement, other internet resources, related entries.

An argument can be defined as a complex symbolic structure where some parts, known as the premises, offer support to another part, the conclusion. Alternatively, an argument can be viewed as a complex speech act consisting of one or more acts of premising (which assert propositions in favor of the conclusion), an act of concluding, and a stated or implicit marker (“hence”, “therefore”) that indicates that the conclusion follows from the premises (Hitchcock 2007). [ 1 ] The relation of support between premises and conclusion can be cashed out in different ways: the premises may guarantee the truth of the conclusion, or make its truth more probable; the premises may imply the conclusion; the premises may make the conclusion more acceptable (or assertible).

For theoretical purposes, arguments may be considered as freestanding entities, abstracted from their contexts of use in actual human activities. But depending on one’s explanatory goals, there is also much to be gained from considering arguments as they in fact occur in human communicative practices. The term generally used for instances of exchange of arguments is argumentation . In what follows, the convention of using “argument” to refer to structures of premises and conclusion, and “argumentation” to refer to human practices and activities where arguments occur as communicative actions will be adopted.

Argumentation can be defined as the communicative activity of producing and exchanging reasons in order to support claims or defend/challenge positions, especially in situations of doubt or disagreement (Lewiński & Mohammed 2016). It is arguably best conceived as a kind of dialogue , even if one can also “argue” with oneself, in long speeches or in writing (in articles or books) for an intended but silent audience, or in groups rather than in dyads (Lewiński & Aakhus 2014). But argumentation is a special kind of dialogue: indeed, most of the dialogues we engage in are not instances of argumentation, for example when asking someone if they know what time it is, or when someone shares details about their vacation. Argumentation only occurs when, upon making a claim, someone receives a request for further support for the claim in the form of reasons, or estimates herself that further justification is required (Jackson & Jacobs 1980; Jackson, 2019). In such cases, dialogues of “giving and asking for reasons” ensue (Brandom, 1994; Bermejo Luque 2011). Since most of what we know we learn from others, argumentation seems to be an important mechanism to filter the information we receive, instead of accepting what others tell us uncritically (Sperber, Clément, et al. 2010).

The study of arguments and argumentation is also closely connected to the study of reasoning , understood as the process of reaching conclusions on the basis of careful, reflective consideration of the available information, i.e., by an examination of reasons . According to a widespread view, reasoning and argumentation are related (as both concern reasons) but fundamentally different phenomena: reasoning would belong to the mental realm of thinking—an individual inferring new information from the available information by means of careful consideration of reasons—whereas argumentation would belong to the public realm of the exchange of reasons, expressed in language or other symbolic media and intended for an audience. However, a number of authors have argued for a different view, namely that reasoning and argumentation are in fact two sides of the same coin, and that what is known as reasoning is by and large the internalization of practices of argumentation (MacKenzie 1989; Mercier & Sperber 2017; Mercier 2018). For the purposes of this entry, we can assume a close connection between reasoning and argumentation so that relevant research on reasoning can be suitably included in the discussions to come.

2. Types of Arguments

Arguments come in many kinds. In some of them, the truth of the premises is supposed to guarantee the truth of the conclusion, and these are known as deductive arguments. In others, the truth of the premises should make the truth of the conclusion more likely while not ensuring complete certainty; two well-known classes of such arguments are inductive and abductive arguments (a distinction introduced by Peirce, see entry on C.S. Peirce ). Unlike deduction, induction and abduction are thought to be ampliative: the conclusion goes beyond what is (logically) contained in the premises. Moreover, a type of argument that features prominently across different philosophical traditions, and yet does not fit neatly into any of the categories so far discussed, are analogical arguments. In this section, these four kinds of arguments are presented. The section closes with a discussion of fallacious arguments, that is, arguments that seem legitimate and “good”, but in fact are not. [ 2 ]

Valid deductive arguments are those where the truth of the premises necessitates the truth of the conclusion: the conclusion cannot but be true if the premises are true. Arguments having this property are said to be deductively valid . A valid argument whose premises are also true is said to be sound . Examples of valid deductive arguments are the familiar syllogisms, such as:

All humans are living beings. All living beings are mortal. Therefore, all humans are mortal.

In a deductively valid argument, the conclusion will be true in all situations where the premises are true, with no exceptions. A slightly more technical gloss of this idea goes as follows: in all possible worlds where the premises hold, the conclusion will also hold. This means that, if I know the premises of a deductively valid argument to be true of a given situation, then I can conclude with absolute certainty that the conclusion is also true of that situation. An important property typically associated with deductive arguments (but with exceptions, such as in relevant logic), and which differentiates them from inductive and abductive arguments, is the property of monotonicity : if premises A and B deductively imply conclusion C , then the addition of any arbitrary premise D will not invalidate the argument. In other words, if the argument “ A and B ; therefore C ” is deductively valid, then the argument “ A , B and D ; therefore C ” is equally deductively valid.

Deductive arguments are the objects of study of familiar logical systems such as (classical) propositional and predicate logic, as well as of subclassical systems such as intuitionistic and relevant logics (although in relevant logic the property of monotonicity does not hold, as it may lead to violations of criteria of relevance between premises and conclusion—see entry on relevance logic ). In each of these systems, the relation of logical consequence in question satisfies the property of necessary truth-preservation (see entry on logical consequence ). This is not surprising, as these systems were originally designed to capture arguments of a very specific kind, namely mathematical arguments (proofs), in the pioneering work of Frege, Russell, Hilbert, Gentzen, and others. Following a paradigm established in ancient Greek mathematics and famously captured in Euclid’s Elements , argumentative steps in mathematical proofs (in this tradition at least) must have the property of necessary truth preservation (Netz 1999). This paradigm remained influential for millennia, and still codifies what can be described as the “classical” conception of mathematical proof (Dutilh Novaes 2020a), even if practices of proof are ultimately also quite diverse. (In fact, there is much more to argumentation in mathematics than just deductive argumentation [Aberdein & Dove 2013].)

However, a number of philosophers have argued that deductive validity and necessary truth preservation in fact come apart. Some have reached this conclusion motivated by the familiar logical paradoxes such as the Liar or Curry’s paradox (Beall 2009; Field 2008; see entries on the Liar paradox and on Curry’s paradox ). Others have defended the idea that there are such things as contingent logical truths (Kaplan 1989; Nelson & Zalta 2012), which thus challenge the idea of necessary truth preservation. It has also been suggested that what is preserved in the transition from premises to conclusions in deductive arguments is in fact warrant or assertibility rather than truth (Restall 2004). Yet others, such as proponents of preservationist approaches to paraconsistent logic, posit that what is preserved by the deductive consequence relation is the coherence, or incoherence, of a set of premises (Schotch, Brown, & Jennings 2009; see entry on paraconsistent logic ). Nevertheless, it is fair to say that the view that deductive validity is to be understood primarily in terms of necessary truth preservation is still the received view.

Relatedly, there are a number of pressing philosophical issues pertaining to the justification of deduction, such as the exact nature of the necessity involved in deduction (metaphysical, logical, linguistic, epistemic; Shapiro 2005), and the possibility of offering a non-circular foundation for deduction (Dummett 1978). Furthermore, it is often remarked that the fact that a deductive argument is not ampliative may entail that it cannot be informative, which in turn would mean that its usefulness is quite limited; this problem has been described as “the scandal of deduction” (Sequoiah-Grayson 2008).

Be that as it may, deductive arguments have occupied a special place in philosophy and the sciences, ever since Aristotle presented the first fully-fledged theory of deductive argumentation and reasoning in the Prior Analytics (and the corresponding theory of scientific demonstration in the Posterior Analytics ; see Historical Supplement ). The fascination for deductive arguments is understandable, given their allure of certainty and indubitability. The more geometrico (a phrase introduced by Spinoza to describe the argumentative structure of his Ethics as following “a geometrical style”—see entry on Spinoza ) has been influential in many fields other than mathematics. However, the focus on deductive arguments at the expense of other types of arguments has arguably skewed investigations on argument and argumentation too much in one specific direction (see (Bermejo-Luque 2020) for a critique of deductivism in the study of argumentation).

In recent decades, the view that everyday reasoning and argumentation by and large do not follow the canons of deductive argumentation has been gaining traction. In psychology of reasoning, Oaksford and Chater were the first to argue already in the 1980s that human reasoning “in the wild” is essentially probabilistic, following the basic canons of Bayesian probabilities (Oaksford & Chater 2018; Elqayam 2018; see section 5.3 below). Computer scientists and artificial intelligence researchers have also developed a strong interest in non-monotonic reasoning and argumentation (Reiter 1980), recognizing that, outside specific scientific contexts, human reasoning tends to be deeply defeasible (Pollock 1987; see entries on non-monotonic logic and defeasible reasoning ). Thus seen, deductive argumentation might be considered as the exception rather than the rule in human argumentative practices taken as a whole (Dutilh Novaes 2020a). But there are others, especially philosophers, who still maintain that the use of deductive reasoning and argumentation is widespread and extends beyond niches of specialists (Shapiro 2014; Williamson 2018).

Inductive arguments are arguments where observations about past instances and regularities lead to conclusions about future instances and general principles. For example, the observation that the sun has risen in the east every single day until now leads to the conclusion that it will rise in the east tomorrow, and to the general principle “the sun always rises in the east”. Generally speaking, inductive arguments are based on statistical frequencies, which then lead to generalizations beyond the sample of cases initially under consideration: from the observed to the unobserved. In a good, i.e., cogent , inductive argument, the truth of the premises provides some degree of support for the truth of the conclusion. In contrast with a deductively valid argument, in an inductive argument the degree of support will never be maximal, as there is always the possibility of the conclusion being false given the truth of the premises. A gloss in terms of possible worlds might be that, while in a deductively valid argument the conclusion will hold in all possible worlds where the premises hold, in a good inductive argument the conclusion will hold in a significant proportion of the possible worlds where the premises hold. The proportion of such worlds may give a measure of the strength of support of the premises for the conclusion (see entry on inductive logic ).

Inductive arguments have been recognized and used in science and elsewhere for millennia. The concept of induction ( epagoge in Greek) was understood by Aristotle as a progression from particulars to a universal, and figured prominently both in his conception of the scientific method and in dialectical practices (see entry on Aristotle’s logic, section 3.1 ). However, a deductivist conception of the scientific method remained overall more influential in Aristotelian traditions, inspired by the theory of scientific demonstration of the Posterior Analytics . It is only with the so-called “scientific revolution” of the early modern period that experiments and observation of individual cases became one of the pillars of scientific methodology, a transition that is strongly associated with the figure of Francis Bacon (1561–1626; see entry on Francis Bacon ).

Inductive inferences/arguments are ubiquitous both in science and in everyday life, and for the most part quite reliable. The functioning of the world around us seems to display a fair amount of statistical regularity, and this is referred to as the “Uniformity Principle” in the literature on the problem of induction (to be discussed shortly). Moreover, it has been argued that generalizing from previously observed frequencies is the most basic principle of human cognition (Clark 2016).

However, it has long been recognized that inductive inferences/arguments are not unproblematic. Hume famously offered the first influential formulation of what became known as “the problem of induction” in his Treatise of Human Nature (see entries on David Hume and on the problem of induction ; Howson 2000). Hume raises the question of what grounds the correctness of inductive inferences/arguments, and posits that there must be an argument establishing the validity of the Uniformity Principle for inductive inferences to be truly justified. He goes on to argue that this argument cannot be deductive, as it is not inconceivable that the course of nature may change. But it cannot be probable either, as probable arguments already presuppose the validity of the Uniformity Principle; circularity would ensue. Since these are the only two options, he concludes that the Uniformity Principle cannot be established by rational argument, and hence that induction cannot be justified.

A more recent influential critique of inductive arguments is the one offered in (Harman 1965). Harman argues that either enumerative induction is not always warranted, or it is always warranted but constitutes an uninteresting special case of the more general category of inference to the best explanation (see next section). The upshot is that, for Harman, induction should not be considered a warranted form of inference in its own right.

Given the centrality of induction for scientific practice, there have been numerous attempts to respond to the critics of induction, with various degrees of success. Among those, an influential recent response to the problem of induction is Norton’s material theory of induction (Norton 2003). But the problem has not prevented scientists and laypeople alike from continuing to use induction widely. More recently, the use of statistical frequencies for social categories to draw conclusions about specific individuals has become a matter of contention, both at the individual level (see entry on implicit bias ) and at the institutional level (e.g., the use of predictive algorithms for law enforcement [Jorgensen Bolinger 2021]). These debates can be seen as reoccurrences of Hume’s problem of induction, now in the domain of social rather than of natural phenomena.

An abductive argument is one where, from the observation of a few relevant facts, a conclusion is drawn as to what could possibly explain the occurrence of these facts (see entry on abduction ). Abduction is widely thought to be ubiquitous both in science and in everyday life, as well as in other specific domains such as the law, medical diagnosis, and explainable artificial intelligence (Josephson & Josephson 1994). Indeed, a good example of abduction is the closing argument by a prosecutor in a court of law who, after summarizing the available evidence, concludes that the most plausible explanation for it is that the defendant must have committed the crime they are accused of.

Like induction, and unlike deduction, abduction is not necessarily truth-preserving: in the example above, it is still possible that the defendant is not guilty after all, and that some other, unexpected phenomena caused the evidence to emerge. But abduction is significantly different from induction in that it does not only concern the generalization of prior observation for prediction (though it may also involve statistical data): rather, abduction is often backward-looking in that it seeks to explain something that has already happened. The key notion is that of bringing together apparently independent phenomena or events as explanatorily and/or causally connected to each other, something that is absent from a purely inductive argument that only appeals to observed frequencies. Cognitively, abduction taps into the well-known human tendency to seek (causal) explanations for phenomena (Keil 2006).

As noted, deduction and induction have been recognized as important classes of arguments for millennia; the concept of abduction is by comparison a latecomer. It is important to notice though that explanatory arguments as such are not latecomers; indeed, Aristotle’s very conception of scientific demonstration is based on the concept of explaining causes (see entry on Aristotle ). What is recent is the conceptualization of abduction as a special class of arguments, and the term itself. The term was introduced by Peirce as a third class of inferences distinct from deduction and induction: for Peirce, abduction is understood as the process of forming explanatory hypotheses, thus leading to new ideas and concepts (whereas for him deduction and induction could not lead to new ideas or theories; see the entry on Peirce ). Thus seen, abduction pertains to contexts of discovery , in which case it is not clear that it corresponds to instances of arguments, properly speaking. In its modern meaning, however, abduction pertains to contexts of justification , and thus to speak of abductive arguments becomes appropriate. An abductive argument is now typically understood as an inference to the best explanation (Lipton 1971 [2003]), although some authors contend that there are good reasons to distinguish the two concepts (Campos 2011).

While the main ideas behind abduction may seem simple enough, cashing out more precisely how exactly abduction works is a complex matter (see entry on abduction ). Moreover, it is not clear that abductive arguments are always or even generally reliable and cogent. Humans seem to have a tendency to overshoot in their quest for causal explanations, and often look for simplicity where there is none to be found (Lombrozo 2007; but see Sober 2015 on the significance of parsimony in scientific reasoning). There are also a number of philosophical worries pertaining to the justification of abduction, especially in scientific contexts; one influential critique of abduction/inference to the best explanation is the one articulated by van Fraassen (Fraassen 1989). A frequent concern pertains to the connection between explanatory superiority and truth: are we entitled to conclude that the conclusion of an abductive argument is true solely on the basis of it being a good (or even the best) explanation for the phenomena in question? It seems that no amount of philosophical a priori theorizing will provide justification for the leap from explanatory superiority to truth. Instead, defenders of abduction tend to offer empirical arguments showing that abduction tends to be a reliable rule of inference. In this sense, abduction and induction are comparable: they are widely used, grounded in very basic human cognitive tendencies, but they give rise to a number of difficult philosophical problems.

Arguments by analogy are based on the idea that, if two things are similar, what is true of one of them is likely to be true of the other as well (see entry on analogy and analogical reasoning ). Analogical arguments are widely used across different domains of human activity, for example in legal contexts (see entry on precedent and analogy in legal reasoning ). As an example, take an argument for the wrongness of farming non-human animals for food consumption: if an alien species farmed humans for food, that would be wrong; so, by analogy, it is wrong for us humans to farm non-human animals for food. The general idea is captured in the following schema (adapted from the entry on analogy and analogical reasoning ; S is the source domain and T the target domain of the analogy):

  • S is similar to T in certain (known) respects.
  • S has some further feature Q .
  • Therefore, T also has the feature Q , or some feature Q * similar to Q .

The first premise establishes the analogy between two situations, objects, phenomena etc. The second premise states that the source domain has a given property. The conclusion is then that the target domain also has this property, or a suitable counterpart thereof. While informative, this schema does not differentiate between good and bad analogical arguments, and so does not offer much by way of explaining what grounds (good) analogical arguments. Indeed, contentious cases usually pertain to premise 1, and in particular to whether S and T are sufficiently similar in a way that is relevant for having or not having feature Q .

Analogical arguments are widely present in all known philosophical traditions, including three major ancient traditions: Greek, Chinese, and Indian (see Historical Supplement ). Analogies abound in ancient Greek philosophical texts, for example in Plato’s dialogues. In the Gorgias , for instance, the knack of rhetoric is compared to pastry-baking—seductive but ultimately unhealthy—whereas philosophy would correspond to medicine—potentially painful and unpleasant but good for the soul/body (Irani 2017). Aristotle discussed analogy extensively in the Prior Analytics and in the Topics (see section 3.2 of the entry on analogy and analogical reasoning ). In ancient Chinese philosophy, analogy occupies a very prominent position; indeed, it is perhaps the main form of argumentation for Chinese thinkers. Mohist thinkers were particularly interested in analogical arguments (see entries on logic and language in early Chinese philosophy , Mohism and the Mohist canons ). In the Latin medieval tradition too analogy received sustained attention, in particular in the domains of logic, theology and metaphysics (see entry on medieval theories of analogy ).

Analogical arguments continue to occupy a central position in philosophical discussions, and a number of the most prominent philosophical arguments of the last decades are analogical arguments, e.g., Jarvis Thomson’s violinist argument purportedly showing the permissibility of abortion (Thomson 1971), and Searle’s Chinese Room argument purportedly showing that computers cannot display real understanding (see entry on the Chinese Room argument ). (Notice that these two arguments are often described as thought experiments [see entry on thought experiments ], but thought experiments are often based on analogical principles when seeking to make a point that transcends the thought experiment as such.) The Achilles’ heel of analogical arguments can be illustrated by these two examples: both arguments have been criticized on the grounds that the purported similarity between the source and the target domains is not sufficient to extrapolate the property of the source domain (the permissibility of disconnecting from the violinist; the absence of understanding in the Chinese room) to the target domain (abortion; digital computers and artificial intelligence).

In sum, while analogical arguments in general perhaps confer a lesser degree of conviction than the other three kinds of arguments discussed, they are widely used both in professional circles and in everyday life. They have rightly attracted a fair amount of attention from scholars in different disciplines, and remain an important object of study (see entry on analogy and analogical reasoning ).

One of the most extensively studied types of arguments throughout the centuries are, perhaps surprisingly, arguments that appear legitimate but are not, known as fallacious arguments . From early on, the investigation of such arguments occupied a prominent position in Aristotelian logical traditions, inspired in particular by his book Sophistical Refutations (see Historical Supplement ). The thought is that, to argue well, it is not sufficient to be able to produce and recognize good arguments; it is equally (or perhaps even more) important to be able to recognize bad arguments by others, and to avoid producing bad arguments oneself. This is particularly true of the tricky cases, namely arguments that appear legitimate but are not, i.e., fallacies.

Some well-know types of fallacies include (see entry on fallacies for a more extensive discussion):

  • The fallacy of equivocation, which occurs when an arguer exploits the ambiguity of a term or phrase which has occurred at least twice in an argument to draw an unwarranted conclusion.
  • The fallacy of begging the question, when one of the premises and the conclusion of an argument are the same proposition, but differently formulated.
  • The fallacy of appeal to authority, when a claim is supported by reference to an authority instead of offering reasons to support it.
  • The ad hominem fallacy, which involves bringing negative aspects of an arguer, or their situation, to argue against the view they are advancing.
  • The fallacy of faulty analogy, when an analogy is used as an argument but there is not sufficient relevant similarity between the source domain and the target domain (as discussed above).

Beyond their (presumed?) usefulness in teaching argumentative skills, the literature on fallacies raises a number of important philosophical discussions, such as: What determines when an argument is fallacious or rather a legitimate argument? (See section 4.3 below on Bayesian accounts of fallacies) What causes certain arguments to be fallacious? Is the focus on fallacies a useful approach to arguments at all? (Massey 1981) Despite the occasional criticism, the concept of fallacies remains central in the study of arguments and argumentation.

3. Types of Argumentation

Just as there are different types of arguments, there are different types of argumentative situations, depending on the communicative goals of the persons involved and background conditions. Argumentation may occur when people are trying to reach consensus in a situation of dissent, but it may also occur when scientists discuss their findings with each other (to name but two examples). Specific rules of argumentative engagement may vary depending on these different types of argumentation.

A related point extensively discussed in the recent literature pertains to the function(s) of argumentation. [ 3 ] What’s the point of arguing? While it is often recognized that argumentation may have multiple functions, different authors tend to emphasize specific functions for argumentation at the expense of others. This section offers an overview of discussions on types of argumentation and its functions, demonstrating that argumentation is a multifaceted phenomenon that has different applications in different circumstances.

A question that has received much attention in the literature of the past decades pertains to whether the activity of argumentation is primarily adversarial or primarily cooperative. This question in fact corresponds to two sub-questions: the descriptive question of whether instances of argumentation are on the whole primarily adversarial or cooperative; and the normative question of whether argumentation should be (primarily) adversarial or cooperative. A number of authors have answered “adversarial” to the descriptive question and “cooperative” to the normative question, thus identifying a discrepancy between practices and normative ideals that must be remedied (or so they claim; Cohen 1995).

A case in point: recently, a number of far-right Internet personalities have advocated the idea that argumentation can be used to overpower one’s opponents, as described in the book The Art of the Argument: Western Civilization’s Last Stand (2017) by the white supremacist S. Molyneux. Such aggressive practices reflect a vision of argumentation as a kind of competition or battle, where the goal is to “score points” and “beat the opponent”. Authors who have criticized (overly) adversarial practices of argumentation include (Moulton 1983; Gilbert 1994; Rooney 2012; Hundleby 2013; Bailin & Battersby 2016). Many (but not all) of these authors formulated their criticism specifically from a feminist perspective (see entry on feminist perspectives on argumentation ).

Feminist critiques of adversarial argumentation challenge ideals of argumentation as a form of competition, where masculine-coded values of aggression and violence prevail (Kidd 2020). For these authors, such ideals encourage argumentative performances where excessive use of forcefulness is on display. Instances of aggressive argumentation in turn have a number of problematic consequences: epistemic consequences—the pursuit of truth is not best served by adversarial argumentation—as well as moral/ethical/political consequences—these practices exclude a number of people from participating in argumentative encounters, namely those for whom displays of aggression do not constitute socially acceptable behavior (women and other socially disadvantaged groups in particular). These authors defend alternative conceptions of argumentation as a cooperative, nurturing activity (Gilbert 1994; Bailin & Battersby 2016), which are traditionally feminine-coded values. Crucially, they view adversarial conceptions of argumentation as optional , maintaining that the alternatives are equally legitimate and that cooperative conceptions should be adopted and cultivated.

By contrast, others have argued that adversariality, when suitably understood, can be seen as an integral and in fact desirable component of argumentation (Govier 1999; Aikin 2011; Casey 2020; but notice that these authors each develop different accounts of adversariality in argumentation). Such authors answer “adversarial” both to the descriptive and to the normative questions stated above. One overall theme is the need to draw a distinction between (excessive) aggressiveness and adversariality as such. Govier, for example, distinguishes between ancillary (negative) adversariality and minimal adversariality (Govier 1999). The thought is that, while the feminist critique of excessive aggression in argumentation is well taken, adversariality conceived and practiced in different ways need not have the detrimental consequences of more extreme versions of belligerent argumentation. Moreover, for these authors, adversariality in argumentation is simply not optional: it is an intrinsic feature of argumentative practices, but these practices also require a background of cooperation and agreement regarding, e.g., the accepted rules of inference.

But ultimately, the presumed opposition between adversarial and cooperative conceptions of argumentation may well be merely apparent. It may be argued for example that actual argumentative encounters ought to be adversarial or cooperative to different degrees, as different types of argumentation are required for different situations (Dutilh Novaes forthcoming). Indeed, perhaps we should not look for a one-fits-all model of how argumentation ought to be conducted across different contexts and situation, given the diversity of uses of argumentation.

We speak of argumentation as an epistemic practice when we take its primary purpose to be that of improving our beliefs and increasing knowledge, or of fostering understanding. To engage in argumentation can be a way to acquire more accurate beliefs: by examining critically reasons for and against a given position, we would be able to weed out weaker, poorly justified beliefs (likely to be false) and end up with stronger, suitably justified beliefs (likely to be true). From this perspective, the goal of engaging in argumentation is to learn , i.e., to improve one’s epistemic position (as opposed to argumentation “to win” (Fisher & Keil 2016)). Indeed, argumentation is often said to be truth-conducive (Betz 2013).

The idea that argumentation can be an epistemically beneficial process is as old as philosophy itself. In every major historical philosophical tradition, argumentation is viewed as an essential component of philosophical reflection precisely because it may be used to aim at the truth (indeed this is the core of Plato’s critique of the Sophists and their excessive focus on persuasion at the expense of truth (Irani 2017; see Historical Supplement ). Recent proponents of an epistemological approach to argumentation include (Goldman 2004; Lumer 2005; Biro & Siegel 2006). Alvin Goldman captures this general idea in the following terms:

Norms of good argumentation are substantially dedicated to the promotion of truthful speech and the exposure of falsehood, whether intentional or unintentional. […] Norms of good argumentation are part of a practice to encourage the exchange of truths through sincere, non-negligent, and mutually corrective speech. (Goldman 1994: 30)

Of course, it is at least in theory possible to engage in argumentation with oneself along these lines, solitarily weighing the pros and cons of a position. But a number of philosophers, most notably John Stuart Mill, maintain that interpersonal argumentative situations, involving people who truly disagree with each other, work best to realize the epistemic potential of argumentation to improve our beliefs (a point he developed in On Liberty (1859; see entry on John Stuart Mill ). When our ideas are challenged by engagement with those who disagree with us, we are forced to consider our own beliefs more thoroughly and critically. The result is that the remaining beliefs, those that have survived critical challenge, will be better grounded than those we held before such encounters. Dissenters thus force us to stay epistemically alert instead of becoming too comfortable with existing, entrenched beliefs. On this conception, arguers cooperate with each other precisely by being adversarial, i.e., by adopting a critical stance towards the positions one disagrees with.

The view that argumentation aims at epistemic improvement is in many senses appealing, but it is doubtful that it reflects the actual outcomes of argumentation in many real-life situations. Indeed, it seems that, more often than not, we are not Millians when arguing: we do not tend to engage with dissenting opinions with an open mind. Indeed, there is quite some evidence suggesting that arguments are in fact not a very efficient means to change minds in most real-life situations (Gordon-Smith 2019). People typically do not like to change their minds about firmly entrenched beliefs, and so when confronted with arguments or evidence that contradict these beliefs, they tend to either look away or to discredit the source of the argument as unreliable (Dutilh Novaes 2020c)—a phenomenon also known as “confirmation bias” (Nickerson 1998).

In particular, arguments that threaten our core beliefs and our sense of belonging to a group (e.g., political beliefs) typically trigger all kinds of motivated reasoning (Taber & Lodge 2006; Kahan 2017) whereby one outright rejects those arguments without properly engaging with their content. Relatedly, when choosing among a vast supply of options, people tend to gravitate towards content and sources that confirm their existing opinions, thus giving rise to so-called “echo chambers” and “epistemic bubbles” (Nguyen 2020). Furthermore, some arguments can be deceptively convincing in that they look valid but are not (Tindale 2007; see entry on fallacies ). Because most of us are arguably not very good at spotting fallacious arguments, especially if they are arguments that lend support to the beliefs we already hold, engaging in argumentation may in fact decrease the accuracy of our beliefs by persuading us of false conclusions with incorrect arguments (Fantl 2018).

In sum, despite the optimism of Mill and many others, it seems that engaging in argumentation will not automatically improve our beliefs (even if this may occur in some circumstances). [ 4 ] However, it may still be argued that an epistemological approach to argumentation can serve the purpose of providing a normative ideal for argumentative practices, even if it is not always a descriptively accurate account of these practices in the messy real world. Moreover, at least some concrete instances of argumentation, in particular argumentation in science (see section 4.5 below) seem to offer successful examples of epistemic-oriented argumentative practices.

Another important strand in the literature on argumentation are theories that view consensus as the primary goal of argumentative processes: to eliminate or resolve a difference of (expressed) opinion. The tradition of pragma-dialectics is a prominent recent exponent of this strand (Eemeren & Grootendorst 2004). These consensus-oriented approaches are motivated by the social complexity of human life, and the attribution of a role of social coordination to argumentation. Because humans are social animals who must often cooperate with other humans to successfully accomplish certain tasks, they must have mechanisms to align their beliefs and intentions, and subsequently their actions (Tomasello 2014). The thought is that argumentation would be a particularly suitable mechanism for such alignment, as an exchange of reasons would make it more likely that differences of opinion would decrease (Norman 2016). This may happen precisely because argumentation would be a good way to track truths and avoid falsehoods, as discussed in the previous section; by being involved in the same epistemic process of exchanging reasons, the participants in an argumentative situation would all come to converge towards the truth, and thus the upshot would be that they also come to agree with each other. However, consensus-oriented views need not presuppose that argumentation is truth-conducive: the ultimate goal of such instances of argumentation is that of social coordination, and for this tracking truth is not a requirement (Patterson 2011).

In particular, the very notion of deliberative democracy is viewed as resting crucially on argumentative practices that aim for consensus (Fishkin 2016; see entry on democracy ). (For present purposes, “deliberation” and “argumentation” can be treated as roughly synonymous). In a deliberative democracy, for a decision to be legitimate, it must be preceded by authentic public deliberation—a discussion of the pros and cons of the different options—not merely the aggregation of preferences that occurs in voting. Moreover, in democratic deliberation, when full consensus does not emerge, the parties involved may opt for a compromise solution, e.g., a coalition-based political system.

A prominent theorist of deliberative democracy thus understood is Jürgen Habermas, whose “discourse theory of law and democracy” relies heavily on practices of political justification and argumentation taking place in what he calls “the public sphere” (Habermas 1992 [1996]; 1981 [1984]; see entry on Habermas ). He starts from the idea that politics allows for the collective organization of people’s lives, including the common rules they will live by. Political argumentation is a form of communicative practice, so general assumptions for communicative practices in general apply. However, additional assumptions apply as well (Olson 2011 [2014]). In particular, deliberating participants must accept that anyone can participate in these discursive practices (democratic deliberation should be inclusive), and that anyone can introduce and challenge claims that are made in the public sphere (democratic deliberation should be free). They must also see one another as having equal status, at least for the purposes of deliberation (democratic deliberation should be equal). In turn, critics of Habermas’s account view it as unrealistic, as it presupposes an ideal situation where all citizens are treated equally and engage in public debates in good faith (Mouffe 1999; Geuss 2019).

More generally, it seems that it is only under quite specific conditions that argumentation reliably leads to consensus (as also suggested by formal modeling of argumentative situations (Betz 2013; Olsson 2013; Mäs & Flache 2013)). Consensus-oriented argumentation seems to work well in cooperative contexts, but not so much in situations of conflict (Dutilh Novaes forthcoming). In particular, the discussing parties must already have a significant amount of background agreement—especially agreement on what counts as a legitimate argument or compelling evidence—for argumentation and deliberation to lead to consensus. Especially in situations of deep disagreement (Fogelin 1985), it seems that the potential of argumentation to lead to consensus is quite limited. Instead, in many real-life situations, argumentation often leads to the opposite result; people disagree with each other even more after engaging in argumentation (Sunstein 2002). This is the well-documented phenomenon of group polarization , which occurs when an initial position or tendency of individual members of a group becomes more extreme after group discussion (Isenberg 1986).

In fact, it may be argued that argumentation will often create or exacerbate conflict and adversariality, rather than leading to the resolution of differences of opinions. Furthermore, a focus on consensus may end up reinforcing and perpetuating existing unequal power relations in a society.

In an unjust society, what purports to be a cooperative exchange of reasons really perpetuates patterns of oppression. (Goodwin 2007: 77)

This general point has been made by a number of political thinkers (e.g., Young 2000), who have highlighted the exclusionary implications of consensus-oriented political deliberation. The upshot is that consensus may not only be an unrealistic goal for argumentation; it may not even be a desirable goal for argumentation in a number of situations (e.g., when there is great power imbalance). Despite these concerns, the view that the primary goal of argumentation is to aim for consensus remains influential in the literature.

Finally, a number of authors have attributed to argumentation the potential to manage (pre-existing) conflict. In a sense, the consensus-oriented view of argumentation just discussed is a special case of conflict management argumentation, based on the assumption that the best way to manage conflict and disagreement is to aim for consensus and thus eliminate conflict. But conflict can be managed in different ways, not all of them leading to consensus; indeed, some authors maintain that argumentation may help mitigate conflict even when the explicit aim is not that of reaching consensus. Importantly, authors who identify conflict management (or variations thereof) as a function for argumentation differ in their overall appreciation of the value of argumentation: some take it to be at best futile and at worst destructive, [ 5 ] while others attribute a more positive role to argumentation in conflict management.

To this category also belong the conceptualizations of argumentation-as-war discussed (and criticized) by a number of authors (Cohen 1995; Bailin & Battersby 2016); in such cases, conflict is not so much managed but rather enacted (and possibly exacerbated) by means of argumentation. Thus seen, the function of argumentation would not be fundamentally different from the function of organized competitive activities such as sports or even war (with suitable rules of engagement; Aikin 2011).

When conflict emerges, people have various options: they may choose not to engage and instead prefer to flee; they may go into full-blown fighting mode, which may include physical aggression; or they may opt for approaches somewhere in between the fight-or-flee extremes of the spectrum. Argumentation can be plausibly classified as an intermediary response:

[A]rgument literally is a form of pacifism—we are using words instead of swords to settle our disputes. With argument, we settle our disputes in ways that are most respectful of those who disagree—we do not buy them off, we do not threaten them, and we do not beat them into submission. Instead, we give them reasons that bear on the truth or falsity of their beliefs. However adversarial argument may be, it isn’t bombing. […] argument is a pacifistic replacement for truly violent solutions to disagreements…. (Aikin 2011: 256)

This is not to say that argumentation will always or even typically be the best approach to handle conflict and disagreement; the point is rather that argumentation at least has the potential to do so, provided that the background conditions are suitable and that provisions to mitigate escalation are in place (Aikin 2011). Versions of this view can be found in the work of proponents of agonistic conceptions of democracy and political deliberation (Wenman 2013; see entry on feminist political philosophy ). For agonist thinkers, conflict and strife are inevitable features of human lives, and so cannot be eliminated; but they can be managed. One of them is Chantal Mouffe (Mouffe 2000), for whom democratic practices, including argumentation/deliberation, can serve to contain hostility and transform it into more constructive forms of contest. However, it is far from obvious that argumentation by itself will suffice to manage conflict; typically, other kinds of intervention must be involved (Young 2000), as the risk of argumentation being used to exercise power rather than as a tool to manage conflict always looms large (van Laar & Krabbe 2019).

From these observations on different types of argumentation, a pluralistic picture emerges: argumentation, understood as the exchange of reasons to justify claims, seems to have different applications in different situations. However, it is not clear that some of the goals often attributed to argumentation such as epistemic improvement and reaching consensus can in fact be reliably achieved in many real life situations. Does this mean that argumentation is useless and futile? Not necessarily, but it may mean that engaging in argumentation will not always be the optimal response in a number of contexts.

4. Argumentation Across Fields of Inquiry and Social Practices

Argumentation is practiced and studied in many fields of inquiry; philosophers interested in argumentation have much to benefit from engaging with these bodies of research as well.

To understand the emergence of argumentation theory as a specific field of research in the twentieth century, a brief discussion of preceding events is necessary. In the nineteenth century, a number of textbooks aiming to improve everyday reasoning via public education emphasized logical and rhetorical concerns, such as those by Richard Whately (see entry on fallacies ). As noted in section 3.2 , John Stuart Mill also had a keen interest in argumentation and its role in public discourse (Mill 1859), as well as an interest in logic and reasoning (see entries on Mill and on fallacies ). But with the advent of mathematical logic in the final decades of the nineteenth century, logic and the study of ordinary, everyday argumentation came apart, as logicians such as Frege, Hilbert, Russell etc. were primarily interested in mathematical reasoning and argumentation. As a result, their logical systems are not particularly suitable to study everyday argumentation, as this is simply not what they were designed to do. [ 6 ]

Nevertheless, in the twentieth century a number of authors took inspiration from developments in formal logic and expanded the use of logical tools to the analysis of ordinary argumentation. A pioneer in this tradition is Susan Stebbing, who wrote what can be seen as the first textbook in analytic philosophy, and then went on to write a number of books aimed at a general audience addressing everyday and public discourse from a philosophical/logical perspective (see entry on Susan Stebbing ). Her 1939 book Thinking to Some Purpose , which can be considered as one of the first textbooks in critical thinking, was widely read at the time, but did not become particularly influential for the development of argumentation theory in the decades to follow.

By contrast, Stephen Toulmin’s 1958 book The Uses of Argument has been tremendously influential in a wide range of fields, including critical thinking education, rhetoric, speech communication, and computer science (perhaps even more so than in Toulmin’s own original field, philosophy). Toulmin’s aim was to criticize the assumption (widely held by Anglo-American philosophers at the time) that any significant argument can be formulated in purely formal, deductive terms, using the formal logical systems that had emerged in the preceding decades (see (Eemeren, Garssen, et al. 2014: ch. 4). While this critique was met with much hostility among fellow philosophers, it eventually gave rise to an alternative way of approaching argumentation, which is often described as “informal logic” (see entry on informal logic ). This approach seeks to engage and analyze instances of argumentation in everyday life; it recognizes that, while useful, the tools of deductive logic alone do not suffice to investigate argumentation in all its complexity and pragmatic import. In a similar vein, Charles Hamblin’s 1970 book Fallacies reinvigorated the study of fallacies in the context of argumentation by re-emphasizing (following Aristotle) the importance of a dialectical-dialogical background when reflecting on fallacies in argumentation (see entry on fallacies ).

Around the same time as Toulmin, Chaïm Perelman and Lucie Olbrechts-Tyteca were developing an approach to argumentation that emphasized its persuasive component. To this end, they turned to classical theories of rhetoric, and adapted them to give rise to what they described as the “New Rhetoric”. Their book Traité de l’argumentation: La nouvelle rhétorique was published in 1958 in French, and translated into English in 1969. Its key idea:

since argumentation aims at securing the adherence of those to whom it is addressed, it is, in its entirety, relative to the audience to be influenced. (Perelman & Olbrechts-Tyteca 1958 [1969: 19])

They introduced the influential distinction between universal and particular audiences: while every argument is directed at a specific individual or group, the concept of a universal audience serves as a normative ideal encapsulating shared standards of agreement on what counts as legitimate argumentation (see Eemeren, Garssen, et al. 2014: ch. 5).

The work of these pioneers provided the foundations for subsequent research in argumentation theory. One approach that became influential in the following decades is the pragma-dialectics tradition developed by Frans van Eemeren and Rob Grootendorst (Eemeren & Grootendorst 1984, 2004). They also founded the journal Argumentation , one of the flagship journals in argumentation theory. Pragma-dialectics was developed to study argumentation as a discourse activity, a complex speech act that occurs as part of interactional linguistic activities with specific communicative goals (“pragma” refers to the functional perspective of goals, and “dialectic” to the interactive component). For these authors, argumentative discourse is primarily directed at the reasonable resolution of a difference of opinion. Pragma-dialectics has a descriptive as well as a normative component, thus offering tools both for the analysis of concrete instances of argumentation and for the evaluation of argumentation correctness and success (see Eemeren, Garssen, et al. 2014: ch. 10).

Another leading author in argumentation theory is Douglas Walton, who pioneered the argument schemes approach to argumentation that borrows tools from formal logic but expands them so as to treat a wider range of arguments than those covered by traditional logical systems (Walton, Reed, & Macagno 2008). Walton also formulated an influential account of argumentation in dialogue in collaboration with Erik Krabbe (Walton & Krabbe 1995). Ralph Johnson and Anthony Blair further helped to consolidate the field of argumentation theory and informal logic by founding the Centre for Research in Reasoning, Argumentation, and Rhetoric in Windsor (Ontario, Canada), and by initiating the journal Informal Logic . Their textbook Logical Self-Defense (Johnson & Blair 1977) has also been particularly influential.

The study of argumentation within computer science and artificial intelligence is a thriving field of research, with dedicated journals such as Argument and Computation and regular conference series such as COMMA (International Conference on Computational Models of Argument; see Rahwan & Simari 2009 and Eemeren, Garssen, et al. 2014: ch. 11 for overviews).

The historical roots of argumentation research in artificial intelligence can be traced back to work on non-monotonic logics (see entry on non-monotonic logics ) and defeasible reasoning (see entry on defeasible reasoning ). Since then, three main different perspectives have emerged (Eemeren, Garssen, et al. 2014: ch. 11): the theoretical systems perspective, where the focus is on theoretical and formal models of argumentation (following the tradition of philosophical and formal logic); the artificial systems perspective, where the aim is to build computer programs that model or support argumentative tasks, for instance, in online dialogue games or in expert systems; the natural systems perspective, which investigates argumentation in its natural form with the help of computational tools (e.g., argumentation mining [Peldszus & Stede 2013; Habernal & Gurevych 2017], where computational methods are used to identify argumentative structures in large corpora of texts).

An influential approach in this research tradition is that of abstract argumentation frameworks , initiated by the pioneering work of Dung (1995). Before that, argumentation in AI was studied mostly under the inspiration of concepts coming from informal logic such as argumentation schemes, context, stages of dialogues and argument moves. By contrast, the key notion in the framework proposed by Dung is that of argument attack , understood as an abstract formal relation roughly intended to capture the idea that it is possible to challenge an argument by means of another argument (assertions are understood as a special case of arguments with zero premises). Arguments can then be represented in networks of attacks and defenses: an argument A can attack an argument B , and B in turn may attack further arguments C and D (the connection with the notion of defeaters is a natural one, which Dung also addresses).

Besides abstract argumentation, three other important lines of research in AI are: the (internal) structure of arguments; argumentation in multi-agent systems; applications to specific tasks and domains (Rahwan & Siwari 2009). The structural approach investigates formally features such as argument strength/force (e.g., a conclusive argument is stronger than a defeasible argument), argument schemes (Bex, Prakken, Reed, & Walton 2003) etc. Argumentation in multi-agent systems is a thriving subfield with its own dedicated conference series (ArgMAS), based on the recognition that argumentation is a particularly suitable vehicle to facilitate interaction in the artificial environments studied by AI researchers working on multi-agent systems (see a special issue of the journal Argument & Computation [Atkinson, Cerutti, et al. 2016]). Finally, computational approaches in argumentation have also thrived with respect to specific domains and applications, such as legal argumentation (Prakken & Sartor 2015). Recently, as a reaction to the machine-learning paradigm, the idea of explainable AI has gotten traction, and the concept of argumentation is thought to play a fundamental role for explainable AI (Sklar & Azhar 2018).

Argumentation is also an important topic of investigation within cognitive science and psychology. Researchers in these fields are predominantly interested in the descriptive question of how people in fact engage in argumentation, rather than in the normative question of how they ought to do it (although some of them have also drawn normative conclusions, e.g., Hahn & Oaksford 2006; Hahn & Hornikx, 2016). Controlled experiments are one of the ways in which the descriptive question can be investigated.

Systematic research specifically on argumentation within cognitive science and psychology has significantly increased over the last 10 years. Before that, there had been extensive research on reasoning conceived as an individual, internal process, much of which had been conducted using task materials such as syllogistic arguments (Dutilh Novaes 2020b). But due to what may be described as an individualist bias in cognitive science and psychology (Mercier 2018), these researchers did not draw explicit connections between their findings and the public acts of “giving and asking for reasons”. It is only somewhat recently that argumentation began to receive sustained attention from these researchers. The investigations of Hugo Mercier and colleagues (Mercier & Sperber 2017; Mercier 2018) and of Ulrike Hahn and colleagues (Hahn & Oaksford 2007; Hornikx & Hahn 2012; Collins & Hahn 2018) have been particularly influential. (See also Paglieri, Bonelli, & Felletti 2016, an edited volume containing a representative overview of research on the psychology of argumentation.) Another interesting line of research has been the study of the development of reasoning and argumentative skills in young children (Köymen, Mammen, & Tomasello 2016; Köymen & Tomasello 2020).

Mercier and Sperber defend an interactionist account of reasoning, according to which the primary function of reasoning is for social interactions, where reasons are exchanged and receivers of reasons decide whether they find them convincing—in other words, for argumentation (Mercier & Sperber 2017). They review a wealth of evidence suggesting that reasoning is rather flawed when it comes to drawing conclusions from premises in order to expand one’s knowledge. From this they conclude, on the basis of evolutionary arguments, that the function of reasoning must be a different one, indeed one that responds to features of human sociality and the need to exercise epistemic vigilance when receiving information from others. This account has inaugurated a rich research program which they have been pursuing with colleagues for over a decade now, and which has delivered some interesting results—for example, that we seem to be better at evaluating the quality of arguments proposed by others than at formulating high-quality arguments ourselves (Mercier 2018).

In the context of the Bayesian (see entry on Bayes’ theorem ) approach to reasoning that was first developed by Mike Oaksford and Nick Chater in the 1980s (Oaksford & Chater 2018), Hahn and colleagues have extended the Bayesian framework to the investigation of argumentation. They claim that Bayesian probabilities offer an accurate descriptive model of how people evaluate the strength of arguments (Hahn & Oaksford 2007) as well as a solid perspective to address normative questions pertaining to argument strength (Hahn & Oaksford 2006; Hahn & Hornikx 2016). The Bayesian approach allows for the formulation of probabilistic measures of argument strength, showing that many so-called “fallacies” may nevertheless be good arguments in the sense that they considerably raise the probability of the conclusion. For example, deductively invalid argument schemes (such as affirming the consequent (AC) and denying the antecedent (DA)) can also provide considerable support for a conclusion, depending on the contents in question. The extent to which this is the case depends primarily on the specific informational context, captured by the prior probability distribution, not on the structure of the argument. This means that some instances of, say, AC, may offer support to a conclusion while others may fail to do so (Eva & Hartmann 2018). Thus seen, Bayesian argumentation represents a significantly different approach to argumentation from those inspired by logic (e.g., argument schemes), but they are not necessarily incompatible; they may well be complementary perspectives (see also [Zenker 2013]).

Argumentation is primarily (though not exclusively) a linguistic phenomenon. Accordingly, argumentation is extensively studied in fields dedicated to the study of language, such as rhetoric, linguistics, discourse analysis, communication, and pragmatics, among others (see Eemeren, Garssen, et al. 2014: chs 8 and 9). Researchers in these areas develop general theoretical models of argumentation and investigate concrete instances of argumentation in specific domains on the basis of linguistic corpora, discourse analysis, and other methods used in the language sciences (see the edited volume Oswald, Herman, & Jacquin [2018] for a sample of the different lines of research). Overall, research on argumentation within the language sciences tends to focus primarily on concrete occurrences of arguments in a variety of domains, adopting a largely descriptive rather than normative perspective (though some of these researchers also tackle normative considerations).

Some of these analyses approach arguments and argumentation primarily as text or self-contained speeches, while others emphasize the interpersonal, communicative nature of “face-to-face” argumentation (see Eemeren, Garssen, et al. 2014: section 8.9). One prominent approach in this tradition is due to communication scholars Sally Jackson and Scott Jacobs. They have drawn on speech act theory and conversation analysis to investigate argumentation as a disagreement-relevant expansion of speech acts that, through mutually recognized reasons, allows us to manage disagreements despite the challenges they pose for communication and coordination of activities (Jackson & Jacobs 1980; Jackson 2019). Moreover, they perceive institutionalized practices of argumentation and concrete “argumentation designs”—such as for example randomized controlled trials in medicine—as interventions aimed at improving methods of disagreement management through argumentation.

Another communication scholar, Dale Hample, has further argued for the importance of approaching argumentation as an essentially interpersonal communicative activity (Hample 2006, 2018). This perspective allows for the consideration of a broader range of factors, not only the arguments themselves but also (and primarily) the people involved in those processes: their motivations, psychological processes, and emotions. It also allows for the formulation of questions pertaining to individual as well as cultural differences in argumentative styles (see section 5.3 below).

Another illuminating perspective views argumentative practices as inherently tied to broader socio-cultural contexts (Amossy 2009). The Journal of Argumentation in Context was founded in 2012 precisely to promote a contextual approach to argumentation. Once argumentation is no longer only considered in abstraction from concrete instances taking place in real-life situations, it becomes imperative to recognize that argumentation does not take place in a vacuum; typically, argumentative practices are embedded in other kinds of practices and institutions, against the background of specific socio-cultural, political structures. The method of discourse analysis is particularly suitable for a broader perspective on argumentation, as shown by the work of Ruth Amossy (2002) and Marianne Doury (2009), among others.

Argumentation is crucial in a number of specific organized social practices, in particular in politics, science, law, and education. The relevant argumentative practices are studied in each of the corresponding knowledge domains; indeed, while some general principles may govern argumentative practices across the board, some may be specific to particular applications and domains.

As already mentioned, argumentation is typically viewed as an essential component of political democratic practices, and as such it is of great interest to political scientists and political theorists (Habermas 1992 [1996]; Young 2000; Landemore 2013; Fishkin 2016; see entry on democracy ). (The term typically used in this context is “deliberation” instead of “argumentation”, but these can be viewed as roughly synonymous for our purposes.) General theories of argumentation such as pragma-dialectic and the Toulmin model can be applied to political argumentation with illuminating results (Wodak 2016; Mohammed 2016). More generally, political discourse seems to have a strong argumentative component, in particular if argumentation is understood more broadly as not only pertaining to rational discourse ( logos ) but as also including what rhetoricians refer to as pathos and ethos (Zarefsky 2014; Amossy 2018). But critics of argumentation and deliberation in political contexts also point out the limitations of the classical deliberative model (Sanders 1997; Talisse 2019).

Moreover, scientific communities seem to offer good examples of (largely) well-functioning argumentative practices. These are disciplined systems of collective epistemic activity, with tacit but widely endorsed norms for argumentative engagement for each domain (which does not mean that there are not disagreements on these very norms). The case of mathematics has already been mentioned above: practices of mathematical proof are quite naturally understood as argumentative practices (Dutilh Novaes 2020a). Furthermore, when a scientist presents a new scientific claim, it must be backed by arguments and evidence that her peers are likely to find convincing, as they follow from the application of widely agreed-upon scientific methods (Longino 1990; Weinstein 1990; Rehg 2008; see entry on the social dimensions of scientific knowledge ). Other scientists will in turn critically examine the evidence and arguments provided, and will voice objections or concerns if they find aspects of the theory to be insufficiently convincing. Thus seen, science may be viewed as a “game of giving and asking for reasons” (Zamora Bonilla 2006). Certain features of scientific argumentation seem to ensure its success: scientists see other scientists as prima facie peers, and so (typically at least) place a fair amount of trust in other scientists by default; science is based on the principle of “organized skepticism” (a term introduced by the pioneer sociologist of science Robert Merton [Merton, 1942]), which means that asking for further reasons should not be perceived as a personal attack. These are arguably aspects that distinguish argumentation in science from argumentation in other domains in virtue of these institutional factors (Mercier & Heintz 2014). But ultimately, scientists are part of society as a whole, and thus the question of how scientific and political argumentation intersect becomes particularly relevant (Kitcher 2001).

Another area where argumentation is essential is the law, which also corresponds to disciplined systems of collective activity with rules and principles for what counts as acceptable arguments and evidence. legal reasoning ).--> In litigation (in particular in adversarial justice systems), there are typically two sides disagreeing on what is lawful or just, and the basic idea is that each side will present its strongest arguments; it is the comparison between the two sets of arguments that should lead to the best judgment (Walton 2002). Legal reasoning and argumentation have been extensively studied within jurisprudence for decades, in particular since Ronald Dworkin’s (1977) and Neil MacCormick’s (1978) responses to HLA Hart’s highly influential The Concept of Law (1961). A number of other views and approaches have been developed, in particular from the perspectives of natural law theory, legal positivism, common law, and rhetoric (see Feteris 2017 for an overview). Overall, legal argumentation is characterized by extensive uses of analogies (Lamond 2014), abduction (Askeland 2020), and defeasible/non-monotonic reasoning (Bex & Verheij 2013). An interesting question is whether argumentation in law is fundamentally different from argumentation in other domains, or whether it follows the same overall canons and norms but applied to legal topics (Raz 2001).

Finally, the development of argumentative skills is arguably a fundamental aspect of (formal) education (Muller Mirza & Perret-Clermont 2009). Ideally, when presented with arguments, a learner should not simply accept what is being said at face value, but should instead reflect on the reasons offered and come to her own conclusions. Argumentation thus fosters independent, critical thinking, which is viewed as an important goal for education (Siegel 1995; see entry on critical thinking ). A number of education theorists and developmental psychologists have empirically investigated the effects of emphasizing argumentative skills in educational settings, with encouraging results (Kuhn & Crowell 2011). There has been in particular much emphasis on argumentation specifically in science education, based on the assumption that argumentation is a key component of scientific practice (as noted above); the thought is that this feature of scientific practice should be reflected in science education (Driver, Newton, & Osborne 2000; Erduran & Jiménez-Aleixandre 2007).

5. Further Topics

Argumentation is a multi-faceted phenomenon, and the literature on arguments and argumentation is massive and varied. This entry can only scratch the surface of the richness of this material, and many interesting, relevant topics must be left out for reasons of space. In this final section, a selection of topics that are likely to attract considerable interest in future research are discussed.

In recent years, the concept of epistemic injustice has received much attention among philosophers (Fricker 2007; McKinnon 2016). Epistemic injustice occurs when a person is unfairly treated qua knower on the basis of prejudices pertaining to social categories such as gender, race, class, ability etc. (see entry on feminist epistemology and philosophy of science ). One of the main categories of epistemic injustice discussed in the literature pertains to testimony and is known as testimonial injustice : this occurs when a testifier is not given a degree of credibility commensurate to their actual expertise on the relevant topic, as a result of prejudice. (Whether credibility excess is also a form of testimonial injustice is a moot point in the literature [Medina 2011].)

Since argumentation can be viewed as an important mechanism for sharing knowledge and information, i.e., as having significant epistemic import (Goldman 2004), the question arises whether there might be instances of epistemic injustice pertaining specifically to argumentation, which may be described as argumentative injustice , and which would be notably different from other recognized forms of epistemic injustice such as testimonial injustice. Bondy (Bondy 2010) presented a first articulation of the notion of argumentative injustice, modeled after Fricker’s notion of epistemic injustice and relying on a broadly epistemological conception of argumentation. However, Bondy’s analysis does not take into account some of the structural elements that have become central to the analysis of epistemic injustice since Fricker’s influential work, so it seems further discussion of epistemic injustice in argumentation is still needed. For example, in situations of disagreement, epistemic injustice can give rise to further obstacles to rational argumentation, leading to deep disagreement (Lagewaard 2021).

Moreover, as often noted by critics of adversarial approaches, argumentation can also be used as an instrument of domination and oppression used to overpower and denigrate an interlocutor (Nozick 1981), especially an interlocutor of “lower” status in the context in question (Moulton 1983; see entry on feminist approaches to argumentation ). From this perspective, it is clear that argumentation may also be used to reinforce and exacerbate injustice, inequalities and power differentials (Goodwin 2007). Given this possibility, and in response to the perennial risk of excessive aggressiveness in argumentative situations, a normative account of how argumentation ought to be conducted so as to avoid these problematic outcomes seem to be required.

One such approach is virtue argumentation theory . Drawing on virtue ethics and virtue epistemology (see entries on virtue ethics and virtue epistemology ), virtue argumentation theory seeks to theorize how to argue well in terms of the dispositions and character of arguers rather than, for example, in terms of properties of arguments considered in abstraction from arguers (Aberdein & Cohen 2016). Some of the argumentative virtues identified in the literature are: willingness to listen to others (Cohen 2019), willingness to take a novel viewpoint seriously (Kwong 2016), humility (Kidd 2016), and open-mindedness (Tanesini 2020).

By the same token, defective argumentation is conceptualized not (only) in terms of structural properties of arguments (e.g., fallacious argument patterns), but in terms of the vices displayed by arguers such as arrogance and narrow-mindedness, among others (Aberdein 2016). Virtue argumentation theory now constitutes a vibrant research program, as attested by a special issue of Topoi dedicated to the topic (see [Aberdein & Cohen 2016] for its Introduction). It allows for a reconceptualization of classical themes within argumentation theory while also promising to provide concrete recommendations on how to argue better. Whether it can fully counter the risk of epistemic injustice and oppressive uses of argumentation is however debatable, at least as long as broader structural factors related to power dynamics are not sufficiently taken into account (Kukla 2014).

On some idealized construals, argumentation is conceived as a purely rational, emotionless endeavor. But the strong connection between argumentative activities and emotional responses has also long been recognized (in particular in rhetorical analyses of argumentation), and more recently has become the object of extensive research (Walton 1992; Gilbert 2004; Hample 2006: ch. 5). Importantly, the recognition of a role for emotions in argumentation does not entail a complete rejection of the “rationality” of argumentation; rather, it is based on the rejection of a strict dichotomy between reason and emotion (see entry on emotion ), and on a more encompassing conception of argumentation as a multi-layered human activity.

Rather than dispassionate exchanges of reasons, instances of argumentation typically start against the background of existing emotional relations, and give rise to further affective responses—often, though not necessarily, negative responses of aggression and hostility. Indeed, it has been noted that, by itself, argumentation can give rise to conflict and friction where there was none to be found prior to the argumentative engagement (Aikin 2011). This occurs in particular because critical engagement and requests for reasons are at odds with default norms of credulity in most mundane dialogical interactions, thus creating a perception of antagonism. But argumentation may also give rise to positive affective responses if the focus is on coalescence and cooperation rather than on hostility (Gilbert 1997).

The descriptive claim that instances of argumentation are typically emotionally charged is not particularly controversial, though it deserves to be further investigated; the details of affective responses during instances of argumentation and how to deal with them are non-trivial (Krabbe & van Laar 2015). What is potentially more controversial is the normative claim that instances of argumentation may or should be emotionally charged, i.e., that emotions may or ought to be involved in argumentative processes, even if it may be necessary to regulate them in such situations rather than giving them free rein (González, Gómez, & Lemos 2019). The significance of emotions for persuasion has been recognized for millennia (see entry on Aristotle’s rhetoric ), but more recently it has become clear that emotions also have a fundamental role to play for choices of what to focus on and what to care about (Sinhababu 2017). This general point seems to apply to instances of argumentation as well. For example, Howes and Hundleby (Howes & Hundleby 2018) argue that, contrary to what is often thought, anger can in fact make a positive contribution to argumentative encounters. Indeed, anger may have an important epistemological role in such encounters by drawing attention to relevant premises and information that may otherwise go unnoticed. (They recognize that anger may also derail argumentation when the encounter becomes a full-on confrontation.)

In sum, the study of the role of emotions for argumentation, both descriptively and normatively speaking, has attracted the interest of a number of scholars, traditionally in connection with rhetoric and more recently also from the perspective of argumentation as interpersonal communication (Hample 2006). And yet, much work remains to be done on the significance of emotions for argumentation, in particular given that the view that argumentation should be a purely rational, dispassionate endeavor remains widely (even if tacitly) endorsed.

Once we adopt the perspective of argumentation as a communicative practice, the question of the influence of cultural factors on argumentative practices naturally arises. Is there significant variability in how people engage in argumentation depending on their sociocultural backgrounds? Or is argumentation largely the same phenomenon across different cultures? Actually, we may even ask ourselves whether argumentation in fact occurs in all human cultures, or whether it is the product of specific, contingent background conditions, thus not being a human universal. For comparison: it had long been assumed that practices of counting were present in all human cultures, even if with different degrees of complexity. But in recent decades it has been shown that some cultures do not engage systematically in practices of counting and basic arithmetic at all, such as the Pirahã in the Amazon (Gordon 2004; see entry on culture and cognitive science ). By analogy, it seems that the purported universality of argumentative practices should not be taken for granted, but rather be treated as a legitimate empirical question. (Incidentally, there is some anecdotal evidence that the Pirahã themselves engage in argumentative exchanges [Everett 2008], but to date their argumentative skills have not been investigated systematically, as is the case with their numerical skills.)

Of course, how widespread argumentative practices will be also depends on how the concept of “argumentative practices” is defined and operationalized in the first place. If it is narrowly defined as corresponding to regimented practices of reason-giving requiring clear markers and explicit criteria for what counts as premises, conclusions and relations of support between them, then argumentation may well be restricted to cultures and subcultures where such practices have been explicitly codified. By contrast, if argumentation is defined more loosely, then a wider range of communicative practices will be considered as instances of argumentation, and thus presumably more cultures will be found to engage in (what is thus viewed as) argumentation. This means that the spread of argumentative practices across cultures is not only an empirical question; it also requires significant conceptual input to be addressed.

But if (as appears to be the case) argumentation is not a strictly WEIRD phenomenon, restricted to Western, Educated, Industrialized, Rich, and Democratic societies (Henrich, Heine, & Norenzayan 2010), then the issue of cross-cultural variability in argumentative practices gives rise to a host of research questions, again both at the descriptive and at the normative level. Indeed, even if at the descriptive level considerable variability in argumentative practices is identified, the normative question of whether there should be universally valid canons for argumentation, or instead specific norms for specific contexts, remains pressing. At the descriptive level, a number of researchers have investigated argumentative practices in different WEIRD as well as non-WEIRD cultures, also addressing questions of cultural variability (Hornikx & Hoeken 2007; Hornikx & de Best 2011).

A foundational work in this context is Edwin Hutchins’ 1980 book Culture and Inference , a study of the Trobriand Islanders’ system of land tenure in Papua New Guinea (Hutchins 1980). While presented as a study of inference and reasoning among the Trobriand Islanders, what Hutchins in fact investigated were instances of legal argumentation in land courts by means of ethnographic observation and interviews with litigants. This led to the formulation of a set of twelve basic propositions codifying knowledge about land tenure, as well as transfer formulas governing how this knowledge can be applied to new disputes. Hutchins’ analysis showed that the Trobriand Islanders had a sophisticated argumentation system to resolve issues pertaining to land tenure, in many senses resembling argumentation and reasoning in so-called WEIRD societies in that it seemed to recognize as valid simple logical structures such as modus ponens and modus tollens .

More recently, Hugo Mercier and colleagues have been conducting studies in countries such as Japan (Mercier, Deguchi, Van der Henst, & Yama 2016) and Guatemala (Castelain, Girotto, Jamet, & Mercier 2016). While recognizing the significance and interest of cultural differences (Mercier 2013), Mercier maintains that argumentation is a human universal, as argumentative capacities and tendencies are a result of natural selection, genetically encoded in human cognition (Mercier 2011; Mercier & Sperber 2017). He takes the results of the cross-cultural studies conducted so far as confirming the universality of argumentation, even considering cultural differences (Mercier 2018).

Another scholar who has been carrying out an extensive research program on cultural differences in argumentation is communication theorist Dale Hample. With different sets of colleagues, he has conducted studies by means of surveys where participants (typically, university undergraduates) self-report on their argumentative practices in countries such as China, Japan, Turkey, Chile, the Netherlands, Portugal, the United States (among others; Hample 2018: ch. 7). His results overall show a number of similarities, which may be partially explained by the specific demographic (university students) from which participants are usually recruited. But interesting differences have also been identified, for example different levels of willingness to engage in argumentative encounters.

In a recent book (Tindale 2021), philosopher Chris Tindale adopts an anthropological perspective to investigate how argumentative practices emerge from the experiences of peoples with diverse backgrounds. He emphasizes the argumentative roles of place, orality, myth, narrative, and audience, also assessing the impacts of colonialism on the study of argumentation. Tindale reviews a wealth of anthropological and ethnographic studies on argumentative practices in different cultures, thus providing what is to date perhaps the most comprehensive study on argumentation from an anthropological perspective.

On the whole, the study of differences and commonalities in argumentative practices across cultures is an established line of research on argumentation, but arguably much work remains to be done to investigate these complex phenomena more thoroughly.

So far we have not yet considered the question of the different media through which argumentation can take place. Naturally, argumentation can unfold orally in face-to-face encounters—discussions in parliament, political debates, in a court of law—as well as in writing—in scientific articles, on the Internet, in newspaper editorials. Moreover, it can happen synchronically, with real-time exchanges of reasons, or asynchronically. While it is reasonable to expect that there will be some commonalities across these different media and environments, it is also plausible that specific features of different environments may significantly influence how argumentation is conducted: different environments present different kinds of affordances for arguers (Halpern & Gibbs 2013; Weger & Aakhus 2003; see entry on embodied cognition for the concept of affordance). Indeed, if the Internet represents a fundamentally novel cognitive ecology (Smart, Heersmink, & Clowes 2017), then it will likely give rise to different forms of argumentative engagement (Lewiński 2010). Whether these new forms will represent progress (according to some suitable metric) is however a moot point.

In the early days of the Internet in the 1990s, there was much hope that online spaces would finally realize the Habermasian ideal of a public sphere for political deliberation (Hindman 2009). The Internet was supposed to act as the great equalizer in the worldwide marketplace of ideas, finally attaining the Millian ideal of free exchange of ideas (Mill 1859). Online, everyone’s voice would have an equal chance of being heard, everyone could contribute to the conversation, and everyone could simultaneously be a journalist, news consumer, engaged citizen, advocate, and activist.

A few decades later, these hopes have not really materialized. It is probably true that most people now argue more —in social media, blogs, chat rooms, discussion boards etc.—but it is much less obvious that they argue better . Indeed, rather than enhancing democratic ideals, some have gone as far as claiming that instead, the Internet is “killing democracy” (Bartlett 2018). There is very little oversight when it comes to the spreading of propaganda and disinformation online (Benkler, Faris, & Roberts 2018), which means that citizens are often being fed faulty information and arguments. Moreover, it seems that online environments may lead to increased polarization when polemic topics are being discussed (Yardi & Boyd 2010), and to “intellectual arrogance” (Lynch 2019). Some have argued that online discussions lead to more overly emotional engagement when compared to other forms of debate (Kramer, Guillory, & Hancock 2014). But not everyone is convinced that the Internet has only made things worse when it comes to argumentation, or in any case that it cannot be suitably redesigned so as to foster rather than destroy democratic ideals and deliberation (Sunstein 2017).

Be that as it may, the Internet is here to stay, and online argumentation is a pervasive phenomenon that argumentation theorists have been studying and will continue to study for years to come. In fact, if anything, online argumentation is now more often investigated empirically than other forms of argumentation, among other reasons thanks to the development of argument mining techniques (see section 4.2 above) which greatly facilitate the study of large corpora of textual material such as those produced by online discussions. Beyond the very numerous specific case studies available in the literature, there have been also attempts to reflect on the phenomenon of online argumentation in general, for example in journal special issues dedicated to argumentation in digital media such as in Argumentation and Advocacy (Volume 47(2), 2010) and Philosophy & Technology (Volume 30(2), 2017). However, a systematic analysis of online argumentation and how it differs from other forms of argumentation remains to be produced.

Argument and argumentation are multifaceted phenomena that have attracted the interest of philosophers as well as scholars in other fields for millennia, and continue to be studied extensively in various domains. This entry presents an overview of the main strands in these discussions, while acknowledging the impossibility of fully doing justice to the enormous literature on the topic. But the literature references below should at least provide a useful starting point for the interested reader.

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Acknowledgments

Thanks to Merel Talbi, Elias Anttila, César dos Santos, Hein Duijf, Silvia Ivani, Caglar Dede, Colin Rittberg, Marcin Lewiński, Andrew Aberdein, Malcolm Keating, Maksymillian Del Mar, and an anonymous referee for suggestions and/or comments on earlier drafts. This research was supported by H2020 European Research Council [771074-SEA].

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dissertation et argumentation

Thème, thèse, argument, exemple

  • Le thème est le sujet de l'argumentation.
  • Une thèse est une opinion donnée sur un thème. On pourrait ici la reformuler de la manière suivante : Les femmes doivent avoir la même place que les hommes dans la société.
  • Les arguments sont les raisons que l'on donne pour démontrer la justesse et la pertinence de la thèse.
  • Les exemples illustrent et valident un argument en donnant des faits précis, concrets. Remarque : Le thème et les thèses ne sont pas toujours formulées de manière explicite. Remarque : Une argumentation peut s'inscrire dans un contexte de débat : deux points de vue s'affrontent. On distingue alors la thèse défendue (celle de l'auteur) et la thèse réfutée (celle de l'adversaire).
L'argument logique (ou pragmatique)Il repose sur une logique cause / conséquence.
L'argument du nombreTelle idée est valable car beaucoup de gens la croient valable.
L'argument de valeurTelle idée est valable car elle est conforme à des valeurs partagées ou à l'éthique.
L'argument d'autoritéTelle idée est valable car elle vient d'une personne compétente, respectée. Il peut s'agir du locuteur lui-même.
L'argument C'est l'inverse de l'argument d'autorité : telle idée n'a pas de valeur car la personne qui la soutient n'est pas compétente.

2 Choisissez la bonne réponse.

S'exercer.

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7 Repérez si les paroles sont rapportées au discours direct, indirect ou indirect libre. Justifiez votre réponse.

8 vers le bac, une erreur sur la page une idée à proposer .

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Formuler un bon argument pour sa dissertation de philosophie

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Bonjour, bienvenue dans cette vidéo dans laquelle nous allons voir comment bien formuler un argument dans votre dissertation de philosophie.

En effet, Une dissertation de philosophie est d’abord une argumentation. Il va donc être essentiel de savoir bien argumenter pour la réussir. Or, c’est aussi ce qui pose souvent problème aux élèves.  Vous pouvez avoir tendance à confondre argument et exemple ou encore à énoncer des idées sans réellement les justifier c’est-à-dire donner des arguments pour les soutenir.

Alors comment bien argumenter ?

Je vais d’abord rappeler la distinction essentielle entre un exemple et un argument puis je vous présenterai différents types d’arguments qui peuvent être utiles dans une dissertation.

Une erreur courante que l’on fait en philosophie consiste à confondre argument et exemple. Un argument est toujours général, il va justifier une thèse de manière générale alors qu’un exemple est un cas particulier. Par exemple, si vous aviez un sujet tel que « Les révolutions sont-elles toujours un facteur de libertés ? », une mauvaise façon d’argumenter serait de dire « les révolutions sont bien un facteur de liberté car la révolution française a finalement apporté davantage de libertés aux français ». Vous voyez ici que la déduction est invalide car ça n’est pas parce qu’une révolution singulière a apporté des libertés que l’on peut en déduire que les révolutions en général sont facteurs de libertés. Pour que la réponse au sujet soit véritablement justifiée il faut que l’argument soit également général. Par exemple, vous pourriez utiliser un argument définition et défendre que dans la mesure où les révolutions sont des ruptures souvent brutales avec l’ordre politique établi (définition), alors elles produisent par nature de l’instabilité, du désordre, ce qui rend les conséquences d’une révolution très incertaine. Or, si les conséquences sont incertaines, il n’est pas possible d’affirmer que les révolutions sont toujours facteur de libertés.

Ceci étant dit, les exemples sont très utiles et pertinents quand ils viennent par exemple après un argument général pour l’illustrer.

Un argument est donc une justification rationnelle et générale de la thèse que vous allez défendre. Utiliser un argument n’est d’ailleurs pas réservé à la dissertation de philosophie, vous utilisez également des arguments dans votre vie quotidienne, dès lors que vous cherchez à convaincre quelqu’un.

Dans votre dissertation de philosophie, vous allez utiliser des arguments pour justifier les différentes réponses au sujet. Comme vous faites un plan dialectique en trois parties, il vous faudra à chaque fois au moins deux arguments par partie soit au minimum 6 arguments dans votre copie. Ce sont les arguments qui vont soutenir votre thèse dans chaque partie et il faut qu’il y ait au moins un argument par sous partie.

Mais comment trouver et formuler de bons arguments ? Je vais vous donner plusieurs façons possibles d’argumenter en philosophie.

1er façon, vous pouvez argumenter en utilisant ce que je vais appeler l’argument définition

Il s’agit d’utiliser une définition pour en déduire logiquement une thèse ou une réponse au sujet. C’est un type d’argument que vous pouvez commencer à utiliser lors de la formulation de la problématique, je vous conseille d’ailleurs de regarder ma vidéo sur comment bien commencer sa dissertation si vous ne l’avez pas vu.

L’argument définition consiste alors à justifier une réponse au sujet en utilisant la définition ou un aspect de la définition d’un des termes du sujet. Par exemple, si vous avez le sujet « un homme libre est-il nécessairement heureux ? », vous pouvez partir de la définition de liberté comme libre arbitre et en déduire qu’un individu qui a le choix peut sans doute être plus heureux qu’un individu qui n’a pas le choix car il sera alors libre de choisir de faire plutôt ce qui, selon lui, le rendra heureux.

Cela donnera donc : « Nous pouvons d’abord penser qu’un homme libre est nécessairement heureux car si par libre, on entend qu’il possède la capacité de choisir alors il peut sans doute utiliser cette capacité pour faire les meilleurs choix pour lui. Un homme libre sera donc heureux. »

Vous voyez qu’ici la réponse au sujet ou thèse que vous défendez est justifiée notamment par une certaine définition de la liberté comme libre arbitre.

Vous le remarquez peut-être, ici il s’agit d’un argument plutôt naïf qui ne va pas résister très longtemps car ça n’est pas parce qu’on a le choix que l’on fait toujours les bons choix. Néanmoins cela peut être un bon argument pour une première partie de dissertation et il est de toute façon possible de faire des arguments très convaincants en utilisant des définitions.

2 façon d’argumenter : Argumenter en utilisant l’argument de fait ou d’expérience

Cela consiste à justifier une thèse en vous appuyant sur une observation des faits. Par exemple, dans le sujet le « le bonheur est-il un idéal inaccessible ? », il est possible de défendre que le bonheur ne semble pas inaccessible puisque dans les faits on observe que bien des gens sont heureux. Pour autant, ce type d’argument est à privilégier en début de réflexion car il ne s’agit pas d’un argument très élaboré et il sera facile de lui trouver des limites. En effet, même si de nombreuses personnes se disent heureuses, on pourra par exemple se demander ce qu’elles entendent par heureuse et s’il s’agit réellement du bonheur.

3e façon d’argumenter ou type d’argument : Argumenter en utilisant l’argument logique

C’est un des types d’argument les plus classiques, il consiste notamment à enchainer des propositions de manière la plus logique possible. Par exemple, si l’on prend à nouveau le sujet : « un homme libre est-il nécessairement heureux ? », il est possible d’argumenter en enchaînant logiquement des propositions. Par exemple on pourra défendre

qu’un homme libre n’est pas nécessairement heureux car même si cet homme a alors la capacité de faire des choix, cela ne signifie pas pour autant qu’il est omniscient ou qu’il sait tout, il va donc potentiellement se tromper et faire de mauvais choix même s’il souhaite faire ce qui est dans son intérêt.

Si j’écris ce raisonnement de manière logique cela pourrait donner :

 – un homme libre a la capacité de faire des choix

– or être libre n’est pas équivalent à tout savoir

– donc un homme libre peut très bien se tromper et être malheureux. 

Vous voyez qu’il s’agit dans cet argument de tirer une conclusion des propositions précédentes.

4e façon d’argumenter : Argumenter en utilisant l’argument d’autorité

Un argument d’autorité consiste à s’appuyer sur l’expertise reconnue d’une personne dans un domaine pour défendre une thèse. Il est possible d’utiliser ce type d’argument en philosophie à condition de développer les arguments de l’expert. Il n’est pas suffisant de dire « cet expert dit cela donc c’est vrai ». Il faut quand même donner ses arguments. Dans votre dissertation vous allez y recourir quand vous développez la pensée d’un auteur.

Néanmoins, attention votre dissertation doit rester votre argumentation et pas simplement une juxtaposition d’arguments de différents auteurs, il est donc nécessaire d’introduire les auteurs dont vous allez parler. Je vous conseille de formuler, par exemple, l’argument avec vos propres termes d’abord puis de faire référence à l’auteur ensuite pour développer.

Voilà pour cette vidéo j’espère qu’elle vous aidera à réussir le développement de votre dissertation, si vous voulez davantage de conseils je vous invite à aller lire mes articles sur l a page Méthode ici

Très bonne journée à vous

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Une réflexion sur “  formuler un bon argument pour sa dissertation de philosophie  ”.

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Je suis aussi enseignant de philosophie. J’ai beaucoup aimé la publication. Je vais certainement m’en servir pour préparer au mieux mes candidats. Je reste ouvert à tout échange au besoin.

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La dissertation pour l'écrit du bac de français

Méthode et conseils.






Texte officiel

Analyser le sujet.

, Charles Dantzig affirme : "La poésie ne se trouve pas que dans les vers". Vous direz si vous partagez son point de vue dans un développement argumenté, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe ou lus personnellement.
      Sujet de dissertation de 2006, Séries technologiques

Rechercher les arguments et élaborer le plan

Rédiger la dissertation.

 

- Phrase d'ouverture : c'est une considération d'ordre générale, mais elle doit bien sûr être liée au sujet (par exemple le contexte littéraire)
- Citer le sujet : il faut intégralement recopier le sujet (entre guillemets). Si vraiment le sujet est trop long, reformulez-le.
- Exposer la problématique qui se dégage du sujet
- Annoncer clairement le plan

  - Bien suivre le plan détaillé que vous avez élaboré
   - Reprise de l'essentiel de la dissertation
- Invitation à aller plus loin (proposer au lecteur un élargissement de la réflexion, sans pour autant aborder un tout autre sujet.)

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Exemple de dissertation pour le bac de français !

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  • Selon vous, est-ce l’immoralité du personnage de Manon Lescaut qui fait le plaisir de la lecture du roman ? (Voir la dissertation rédigée sur Manon Lescaut )
  • Selon vous, le roman de La Peau de chagrin nous invite-t-il à économiser notre énergie vitale ? (Voir la dissertation rédigée sur La Peau de chagrin )
  • Selon vous, Dans Sido et Les Vrilles de la vigne , Colette ne célèbre-t-elle que les êtres qu’elle a chéris ? (Voir la dissertation rédigée sur Sido et Les Vrilles de la vigne )
  • Arthur Rimbaud écrit : «  Allons ! La marche, le fardeau, le désert, l’ennui et la colère.  » Dans quelle mesure cette citation s’applique-t-elle à votre lecture des Cahiers de Douai ? (Voir la dissertation rédigée sur Cahiers de Douai )
  • En quoi La Rage de l’expression de Francis Ponge oeut-il être considéré comme un recueil en cours d’élaboration ? (Voir la dissertation rédigée sur La Rage de l’expression )
  • Dans quelle mesure la nature résonne-t-elle avec l’intime dans le recueil Mes Forêts ? (Voir la dissertation rédigée sur Mes forêts )
  • Rabelais, dans le « Prologue » de Gargantua , évoque les silènes, boîtes décorées « à plaisir pour exciter le monde à rire » mais contenant diverses « choses précieuses ». En quoi cette image éclaire-t-elle votre lecture de Gargantua ? (Voir la dissertation rédigée sur Gargantua )
  • En quoi, dans les livres V à X des Caractères , l’art de la mise en scène sert-il le projet du moraliste ? (Voir la dissertation rédigée sur Les Caractères )
  • Lors de sa défense devant le tribunal révolutionnaire en 1793, Olympe de Gouges déclare qu’elle s’est « frayé une route nouvelle ». Comment cette affirmation éclaire-t-elle votre lecture de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne ? (Voir la dissertation rédigée sur la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne )
  • Peut-on considérer que Le Menteur consacre le triomphe des menteurs ? (Voir la dissertation sur Le Menteur )
  • Dans la scène de dénouement, Perdican s’exclame : «  Orgueil, le plus fatal des conseillers humains, qu’es-tu venu faire entre cette fille et moi ?  » Dans quelle mesure cette citation éclaire-t-elle votre lecture de On ne badine pas avec l’amour de Musset ? (Voir la dissertation sur On ne badine pas avec l’amour )
  • Pourquoi se dispute-t-on dans Pour un oui ou pour un non ? (Voir la dissertation sur Pour un oui ou pour un non )

Exemple de dissertation rédigée pour le bac de français

Voici un exemple de dissertation entièrement rédigée , comme tu devras le faire le jour du bac.

L’étymologie grecque du mot crise, Krisis , vient du verbe krinein qui signifie discerner, juger, décider. En quoi cette étymologie éclaire-t-elle votre lecture de Juste la fin du monde ?

(introduction)

La crise est un moment de transition chaotique, souvent douloureux, qui sépare deux périodes d’équilibre. Elle implique tension, discorde, rupture. La « crise » est d’ailleurs profondément liée au genre théâtral puisque toute pièce met en scène le passage d’un nœud dramatique à un dénouement. Juste la fin du monde n’échappe pas à cette règle puisque Jean-Luc Lagarce nous invite au spectacle d’une crise personnelle et familiale à son apogée. Mais le mot « crise » vient aussi du grec Krisis qui signifie décision, jugement et désigne un moment crucial d’arbitrage. En quoi cette étymologie permet-elle d’éclairer la lecture de Juste la fin du monde ? Qui juge et arbitre dans cette pièce ? Quelle instance décisionnelle préside aux choix des personnages ? Nous verrons comment le moment de chaos que constitue la crise dévoile les véritables responsables des décisions qui sont prises dans l’oeuvre de Jean-Luc Lagarce : la famille et l’individu, mais surtout le destin et ses lois inexorables.

(1re partie)                     Juste la fin du monde met en scène une crise personnelle et familiale. Le spectateur est invité tout d’abord à la tragédie personnelle de Louis, le personnage principal. Dès le prologue, il annonce sa mort prochaine : « Plus tard, l’année d’après / J’allais mourir à mon tour ». Le nœud de l’action ne réside pas dans la maladie de Louis – le personnage se sait condamné et le dénouement est connu d’avance par le spectateur – mais dans son aveu : parviendra-t-il à dévoiler ce douloureux secret ? Son mal-être est perceptible  dès le début de la pièce car sa révélation est difficile : « C’est pénible, ce n’est pas bien / Je suis mal à l’aise. / (…) mais tu m’as mis mal à l’aise et là, / maintenant, / je suis mal à l’aise. » (Partie I, scène 2). Les épanorthoses (Louis revient sans cesse sur ses termes pour les nuancer) et la structure en chiasme (ABBA) de ses phrases révèlent son enferment dans une crise intérieure dont il ne parvient pas à se libérer. En cela, Jean-Luc Lagarce crée un parallèle avec Phèdre de Jean Racine dans laquelle l’aveu de l’héroïne éponyme est au centre de la tragédie. Dans les tragédies classiques, le héros est en proie à des passions violentes contre lesquelles il ne peut pas lutter : c’est la révélation de ses passions qui crée le chaos. C’est ce qui arrive à Louis : sa maladie est déjà là au début de la pièce. Impuissant, il ne lui reste plus qu’à la révéler à son entourage. Louis vit donc deux tragédies simultanées : son combat contre la mort et sa difficulté à avouer ce combat. À l’image de Phèdre, son déchirement intérieur en fait un modèle de héros tragique en pleine situation critique.

Au-delà de la crise personnelle de Louis, c’est tout l’édifice familial qui est placé dans une situation de crise. Le retour de Louis bouleverse en effet l’équilibre familial et réveille les souffrances de chaque membre de la famille. Pour la mère, le retour de Louis correspond au retour du fils prodigue, écrivain, dont on n’a jamais vraiment compris le départ. Pour Antoine, c’est le retour du frère aîné rival, celui qui réactive ses complexes, ses passions et sa jalousie. Pour Catherine et Suzanne, Louis est un miroir qui les confronte à la médiocrité et à la banalité de leur vie. La crise familiale s’exprime violemment, au travers de disputes constantes. Ainsi, tous les personnages se querellent : Antoine et Catherine, Antoine et Suzanne, Suzanne et Catherine, la mère et ses enfants. La violence la plus spectaculaire est celle d’Antoine qui fait éclater la rivalité fraternelle au grand jour dans la scène 2 de la deuxième partie : « ANTOINE : Tu me touches : je te tues ». L’asyndète (absence de liaison entre les deux propositions) accentue la violence du propos et le caractère dramatique de cette scène où la famille, au paroxysme de la crise, se déchire sous nos yeux.

Juste la fin du monde met donc en scène deux crises distinctes : la crise personnelle de Louis et la crise familiale provoquée par son retour. Comme son étymologie grecque krisis l’indique, la crise désigne aussi un moment décisif d’arbitrage. Et l’on voit justement dans cette pièce des mécanismes se mettre en place pour arbitrer la sortie de crise.

(2e partie)

Afin de rétablir l’équilibre, la famille de Louis et Louis lui-même opèrent des choix. Le retour de Louis, après douze ans d’absence, provoque une véritable crise dans le foyer. Immédiatement, un tribunal familial se met en place pour juger le frère aîné. Ainsi, le champ lexical du droit abonde dans le texte. Catherine dit elle-même : « je ne voudrais pas avoir l’air de vous faire un mauvais procès ». Louis accepte d’endosser la culpabilité : « et ces crimes que je ne me connais pas, je les regrette, j’en éprouve du remords «  (2ème partie, scène 1). Ce tribunal familial ne s’en prend pas qu’à Louis et juge tour à tour les personnages. Ainsi, Antoine est également accusé d’être « brutal » dans la scène 2 de la deuxième partie et c’est Louis qui le défend comme le ferait un avocat : « Non il n’a pas été brutal ». La scène devient donc une juridiction dans laquelle chaque personnage se retrouve sur le banc des accusés. De ce point de vue, Juste la fin du monde fait songer à la pièce Huis-clos de Sartre où les personnages, enfermés dans une même pièce après leur mort, se jugent les uns les autres. Mais le verdict final de ce tribunal domestique conduit à rejeter Louis hors du cercle familial. Ainsi, dans la scène 3 de la deuxième partie, les personnages féminins sont gagnés par l’immobilité et s’effacent devant la confrontation des deux frères : « LA MÈRE : Nous ne bougeons presque plus, nous sommes toutes les trois, comme absentes, on les regarde, on se tait. » Le silence qui règne jusqu’à la fin de la scène suggère leur adhésion au discours d’Antoine et une rupture complète entre Louis et sa famille.

La pièce peut aussi se lire comme la représentation d’une cure psychanalytique qui mène Louis à sa décision finale, annoncée dans l’épilogue : « Je pars / je ne reviens plus jamais ». Selon Freud, trois instances sont présentes chez l’homme : le moi qui assure la stabilité et le contact avec la réalité extérieure, le ça, lieu de pulsions qui ne supporte pas la contradiction, et le surmoi, instance morale qui rappelle les interdits. Les personnages de la pièce semblent symboliser ces trois éléments : la Mère serait une sorte de surmoi (l’instance morale), Antoine le ça (les pulsions) et Louis l’inconscient qui ne parvient pas à émerger et dire la mort. Le jeu sur les temps (« je suis touché, j’ai été touché » 1re partie, scène 2) suggère une introspection dans le passé, comme cela se pratique lors d’une psychanalyse. La multiplication des épanorthoses fait penser à une parole analytique qui se cherche pour découvrir une vérité intérieure. On pourrait ainsi rapprocher Juste la fin du monde du théâtre de Nathalie Sarraute qui joue sur les codes de la psychanalyse pour en faire une aventure esthétique et littéraire. Comme Nathalie Sarraute, Jean-Luc Lagarce s’attache à saisir les non-dits et les sentiments cachés derrière l’apparente banalité des conventions sociales. Ainsi, dans la scène de retrouvailles (partie I, scène 1), des sentiments de gêne, de rejet tacite et d’hésitation se devinent derrière les phrases stéréotypées et le masque pesant des politesses : « SUZANNE : C’est Catherine. / Elle est Catherine. / Catherine, c’est Louis. / Voilà Louis. / Catherine. »

Les personnages prennent des décisions pour juguler la crise. Mais sont-ils réellement maîtres de leur destin ? Le dénouement de la crise n’est-il pa connu d’avance ?

(3e partie)    

                                Juste la fin du monde montre avant tout que seul le destin décide véritablement, les personnages étabt soumis à une autorité supérieure qui leur échappe. Le destin est la véritable instance décisionnelle de la pièce. Louis est d’abord soumis à un destin biologique : celui de la maladie. Celle-ci est presque invisible – Louis ne parvient pas à en parler – mais elle est la véritable maîtresse du jeu qui agit sur les personnages. Elle est d’ailleurs évoquée au début de l’œuvre, dans le Prologue (« J’allais mourir à mon tour ») et à la fin, dans l’Epilogue (« Je meurs quelques mois plus tard »), dans une circularité parfaite. La maladie incarne la fatalité tragique inéluctable qui scelle le destin du personnage. Elle remporte le combat inégal et perdu d’avance par Louis. Le destin auquel est soumis le personnage est également héréditaire. On découvre que trois hommes de trois générations successives portent le prénom de Louis. Jean-Luc Lagarce joue sur la récurrence de ce prénom pour inscrire son personnage principal dans une lignée tragique qui fait songer à la malédiction des Atrides dans la mythologie grecque. La crise familiale semble donc être inscrite dans un continuum qui sous-entend que le destin des personnages est écrit d’avance, comme dans les tragédies. C’est en outre ce que suggère Louis dans la scène 1 de la deuxième partie : « C’est exactement ainsi, / lorsque j’y réfléchis, / que j’avais imaginé les choses ».

Soumis à un destin qui leur échappe, les personnages sont également emportés dans une crise collective d’un monde qui ne parvient plus à fonctionner. Le titre Juste la fin du monde invite d’ailleurs les spectateurs à être les témoins d’un monde en crise. L’expression « la fin du monde » fait allusion à une apocalypse collective tandis que l’adverbe « juste » dévoile l’ironie d’un auteur qui observe ce chaos avec distance et humour. Tout comme Louis qui assiste, impuissant, à la crise familiale, le spectateur est invité à regarder l’état de crise permanent dans lequel sont plongés les membres de cette famille. Car si la crise intérieure de Louis, due à sa maladie, suscite la compassion, qu’en est-il de l’obsession psychologique des autres personnages qui se disputent sur chaque mot ? Pris dans un culte de la complication, une recherche de la crise pour la crise, les personnages passent à côté de l’essentiel. Jean-Luc Lagarce montre ainsi un monde où tout se délite : les valeurs, la famille, le langage. Les dialogues des personnages ressemblent d’ailleurs parfois à ceux du théâtre de l’absurde, tel l’échange banal entre Louis et Antoine qui rappelle les échanges mécaniques entre Vladimir et Estragon dans En attendant Godot de Beckett : « Je vais bien / Je n’ai pas de voiture, non / Toi comment est-ce que tu vas ? ANTOINE Je vais bien. Toi comment est-ce que tu vas ? » (1re partie, scène 1).

  (conclusion)

Juste la fin du monde est bien un drame de la crise : la crise personnelle et familiale est dénouée par une décision familiale tacite et une introspection personnelle qui poussent Louis à quitter sa famille, sans révéler son secret. Mais la pièce dévoile surtout la crise d’un monde désagrégé qui conduit à la désunion de tout, des êtres, des choses, des valeurs et de langage. La crise des personnages est une fenêtre par laquelle apparaît l’effondrement d’un monde comme on peut le voir chez un dramaturge comme Bernard-Marie Koltès dont le théâtre exprime la tragédie de l’être solitaire et de la mort.

Tu t’entraînes à la dissertation ? Regarde aussi :

♦ Comment analyser un sujet de dissertation ♦ L’introduction de la dissertation (méthode) ♦ La conclusion de la dissertation (méthode) ♦ Le plan de ta dissertation

Dissertations sur les anciennes oeuvres au programme

♦ Exemple de dissertation sur La Princesse de Clèves ♦ Exemple de dissertation sur Le Rouge et le Noir ♦ Exemple de dissertation sur Mémoires d’Hadrien ♦ Exemple de dissertation sur Le Malade imaginaire ♦ Exemple de dissertation sur Les Fausses confidences ♦ Exemple de dissertation sur Juste la fin du monde

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  • Comment trouver un plan de dissertation ? [vidéo]

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dissertation et argumentation

Qui suis-je ?

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Amélie Vioux

Professeure et autrice chez hachette, je suis spécialisée dans la préparation du bac de français (2nde et 1re).

Sur mon site, tu trouveras des analyses, cours et conseils simples, directs, et facilement applicables pour augmenter tes notes en 2-3 semaines.

Je crée des formations en ligne sur commentairecompose.fr depuis 14 ans.

Tu peux également retrouver mes conseils dans mon livre Réussis ton bac de français 2025 aux éditions Hachette.

J'ai également publié une version de ce livre pour les séries Techno ici.

62 commentaires

Bonjour Amélie, J’ai arrêté l’école il y a plusieurs années… Je n’ai pas le niveau lycée et j’aimerais savoir si vos cours suffiront pour passer le bac es de français en tant que candidat libre ?

Bonjour Abid, Mes cours et formations sont adaptées pour les lycéens qui passent le bac de français. Si tu es en reprise d’étude pour passer le baccalauréat, mes cours te seront donc bien utiles !

Bonsoir Mme Vioux, merci pour cette page, elle me sera très utile, cependant, avez-vous le corrigé de la dissertation sur LaFontaine s’il-vous-plaît ?

c’est un seul paragraphe dans l’intro, un paragraphe dans la conclusion.

Bonjour, c’est la première fois que je dois faire une dissertation et je ne sais pas comment m’y prendre .Pourriez vous m’aider ? La plus grande gloire n’est pas de ne jamais tomber mais de savoir se relever. Merci pour votre aide

Bonjour, Est-il possible d’avoir la réponse concernant les sujets : – Des Fables de La Fontaine – Des Fleurs du Mal de Baudelaire ( Au moins le plan s’il vous plaît ) Merci

Bonjour Amélie, Désolé de te déranger, mais j’aurais aimé savoir si mon plan pour la dissertation sur Les Fleurs du Mal était cohérent. Je me permets donc de l’écrire ci-dessous: I- La laideur peut être une source d’inspiration poétique II- Cependant, la beauté peut suffire comme source d’inspiration III- La poésie ne peut-elle pas s’inspirer d’autre chose que le jugement subjectif? Merci pour tout ce que tu fais! Adam

Bonsoir, j’ai un bac blanc mardi (de français évidemment ^^) et je n’ai étudié pour le moment que la comédie du valet. Dans votre sujet de dissertation que vous proposez, qui est « Pourquoi l’archétype du valet de comédie est-il d’une grande richesse dramaturgique ? », et dans les idées de thèmes pour les parties, vous ne prenez pas en compte un des termes principaux : l’archétype. Donc, je me demandais si en ayant ce thème, nous pouvions traiter tous les valets, mêmes ceux qui sortent de ce carcan, comme Figaro ? Merci par avance pour votre réponse, Ambre.

bonjour à la lecture de la dissertation j’ai fait ce plan qu’en pensez vous ? 1) le personnage de roman: un héro A) des valeurs (Ulysse dans l’odyssée) b) un personnage qui réalise de grande chose (bel ami de Maupassant) c) un personnage fantastique (Harry potter) 2) le personnage de roman un être nuancé A)un personnage réaliste (etienne lantier, germinal de zola) b) un personnage emprunt au doute (Winston smith, 1984) c) l’anti héro (lolita Nabokov) 3)le role du personnage de roman a) Raconter une histoire (la chambre des officiers) b) un représentant d’un monde (colin l’écume des jours) c) faire passer une morale (des souris et des hommes de steinbeck) ouverture le but du romancier

J’ai été choisie cette année par mes professeurs pour participer au concours général des lycéens, j’ai pris l’épreuve de français et je vais devoir passer 6H sur une dissertation, et je n’ai jamais fais de dissertation de ma vie. Mon professeur nous a proposé une dissertation en français sur l’argumentation mais je bloque et je stagne, serait-ce possible d’avoir aide s’il vous plait ?

Est-il possible que la dissertation soit plus facile pour le bac de français que le commentaire?

Les deux exercices font appel à des qualités différentes. C’est à toi de voir lequel de ces deux exercices te semble le plus simple à réaliser.

Bon article mais j’aurais voulu connaître la stucure dans le détail d’une dissertation.

combien de paragraphes peuvent comprendre l’introduction et la conclusion

salut l’introduction on l’a fait en un paragraphe ou en plusieurs paragraphe

bonjour j’ai une dissertation à écrire sur le sujet « dans qu’elle mesure un roman vous permet d’en apprendre davantage sur vous même et sur les autres ? » pourriez vous m’aidez svp

Il ne m’est pas possible de faire de l’aide aux devoirs dans les commentaires. Il faut t’orienter vers un forum ou un tuteur.

Bonjour cela m’aide beaucoup mais comme toujours j’ai des problèmes pour commencer une introduction surtout sur la thématique de mon sujet « L’amour évoqué dans les oeuvres théâtrale lues n’est-il que badinage?  » je tiens à dire que je suis en seconde et que mon cerveau est actuellement le désert de Gobi.

Bonjour Amelie, j’ai une question au sujet de la dissertation. Au moment de formuler ma problématique sois je n’en trouve pas, sois je vais trop loin et frôle le hors sujet. Je n’arrive pas à reformuler le sujet. Pouvez-vous m’aider ?

Bonjour Nayanka, La problématique n’ est pas une simple reformulation du sujet. Tu dois mettre en valeur les différentes questions suscitées par le sujet afin de montrer son intérêt. Je te conseille de t’inscrire à ma formation gratuite en 10 leçons pour voir mes vidéos sur la dissertation. Bon courage.

Merci pour cet article. Il aurait été intéressant de parler des personnages avec les influences des 3 déterminismes (sociaux, historiques et biologiques) qui justement apportent un côté scientifique, fatal quant à la vie des personnages et montrent que le personnage n’a pas réellement de côté extraordinaire –> Toute l’oeuvre de Zola.

Une dissertation n’a pas vocation à être un cours exhaustif sur un sujet donné et il y a bien sûr d’autres développements possibles et d’autres exemples de personnages qui pourraient être mis en avant.

Bonsoir Amélie, je me suis permise de vous envoyer un message privé par mail pour que lire ma dissertation, je ne voulais pas qu’elle fasse objet de plagiat,

Bonjour Claire, Je n’ai malheureusement pas le temps de corriger vos devoirs par email. J’ai déjà beaucoup d’élèves à corriger, je ne peux réaliser ce travail pour davantage de personnes !

Bonjour Amélie, je trouve votre site très intéressant et très bien expliqué. J ai une dissertation sur la phrase suivante « cette histoire est vraie puisque je l ai inventée  » de Boris Vian. Si on analyse la phrase de loin, on peut reconnaître un paradoxe mais on s aperçoit que la vérité ce n est pas la réalité. En effet la vérité relevé de l universalité, elle relève du discours tandis que la réalité et ce qui nous entoure. Mais même après cette analyse, je ne sais pas comment m’y prendre pour faire un plan. Si vous pouviez me aider pour ce sujet, s il vous plaît.

bonjour, Je suis en 1ère S et je n’ai jamais fait de dissertation de ma vie. Mon professeur m’en a donné une à faire, et je n’y arrive pas du tout. Je ne sais même pas quoi mettre dans l’introduction… La question c’est : dans quelle mesure la forme littéraire peut-elle rendre une argumentation plus efficace ? C’est seulement grâce à vous que j’ai compris qu’il fallait faire un plan thématique, merci ! Je voulais un peu m’aider d’internet, parce qu’à part ça, je ne sais rien, et j’ai remarqué que c’était exactement le même sujet que celui de 2007, avec les mêmes textes. Il y a deux ou trois corrigés mais je ne veux pas recopier parce que je ne comprend même pas le raisonnement… S’il vous plait, pouvez-vous m’aider en me disant à peu près quoi mettre dans l’introduction, et comment faire mon plan ? Merci beaucoup d’avance.

Bonjour Shana, Tout d’abord, tu as raison de ne pas recopier quelque chose trouvé sur internet : c’est du plagiat – les professeurs ne sont pas dupes – et puis surtout, cela ne te ferait pas progresser. Tu peux lire quelques ressources mais il est important ensuite de mener un raisonnement par toi-même. Je ne peux pas faire de l’aide aux devoirs dans les commentaires des articles. Juste quelques indications : cherche les raisons qui font que la forme littéraire d’un texte peut rendre le message du texte plus percutant. Appuie-toi sur des exemples concrets pour trouver des arguments (pense par exemple aux contes philosophiques de Voltaire, aux fables de La Fontaine…). Idéalement, tu pourrais trouver deux raisons qui te donneront deux axes. Dans un troisième temps, tu pourrais te demander si c’est réellement la forme du texte qui rend une argumentation plus efficace (d’autres aspects du texte ne sont-ils pas plus importants ? Qu’est-ce qui rend une argumentation efficace ?) Bon courage !

Bonjour, je tenais à vous dire que votre blog est exceptionnel je comprends plus de choses ! Cependant je n’arrive pas à rédiger une introduction de dissertation. Pourriez-vous m’éclairer? Merci d’avance!

Bonjour , j’ai un problème avec une dissertation que je doit au plus vite le sujet : D’après le marquis de Sade,  » on appelle roman l’ouvrage fabuleux composé d’après les plus singulières aventures de la vie des hommes. » cette définition vous paraît-elle fondée ? Pour cela il faut s’appuyer sur les textes du corpus ( extraits de L princesse de Clèves de Madame de Lafayette et Bel-Amide Maupassant) .

Bonjour , j’ai un problème avec une dissertation que j’ai à rendre au plus vite, le sujet est « il faut se méfier de ceux qui cherchent à nous convaincre par d’autres voies que celles de la raison  » j’ai donc fais deux axes -> persuasion conviction mais j’ai du mal à trouver des sous parties Pourriez vous m’aidez ? Merci d’avance

Bonjour Amélie, Tout d’abord merci pour ton site très complet et très rassurant. Mon professeur de français nous recommande de ne pas préciser dans ma dissertation si le texte que j’utilise comme exemple provient du corpus. Cependant je vois de nombreuses corrections de dissertation où il est écrit « Texte B du corpus »… Est-il obligatoire de préciser qu’il est extrait du corps? Merci d’avance

bonjour j’ai une dissertation a rendre pour la rentrée j’ai la problématique « est-il plus efficace de défendre une cause ou de dénoncer une injustice a travers une fiction ou une argumentation » mais je ne comprend pas comment je pourrais la rédiger, j’ai également regarder vos explications. Je ne c’est pas mettre en oeuvre pouvez vous me donner des indices merci.

BONSOIR. Merci beaucoup, vos cours sont vraiment bénéfiques et très utiles. je vous souhaite bonne continuité.

Bonjour ! Tout d’abord, merci beaucoup pour vos cours qui me sont vraiment très utiles ! Je voulais vous demander jusqu’où nos exemples peuvent aller dans une dissertation. Je m’explique : dans une dissertation sur la poésie, peut-on citer des artistes contemporains comme le groupe Fauve Corp ou Saez ? Et dans le roman, des oeuvres récentes comme Yasmina Khadra, etc… Merci d’avance pour votre réponse !

Bonjour, j’ai une dissertation à faire sur le héros en littérature. Je suis un peu perdu, j’hésite quant au plan. 2 ou 3 parties? I le héros II l’anti héros

Bonjour j’ai une dissertation à faire. Elle est la suivante: Qu’attendez-vous d’un personnage de roman? Qu’il vous fasse rêver ou qu’il vous renvoie aux dures réalités de l’existence? Je pense construire un plan dialectique dans une première partie le personnage de rêve, dans une seconde le personnage réaliste et dans une troisième et dernière partie une confrontation de mes deux premières idées en parlant d’un personnage de roman qui fait rêver tout en étant réaliste. Pensez-vous que ma dernière partie est pertinente? si oui pouvez-vous me donner des œuvres qui pourraient constituer des exemples concrets pour ma partie. Merci d’avance.

Bonjours j’aimerais avoir quelques argument sur la question de la dissertation suivante : un poeme fait t’il toujours entendre plusieurs voix ? ( je trouve ca assez compliquer…) ( je suis en 1S). 🙂 merci d’avance

Amelie je ne comprends pas pourquoi vous considérez que les personnages du texte A « Colette » sont extraordinaires? Au contraire, ils sont tout à fait réalistes, je pense … non?

mdm Amélie s’il vous plais j’ai un examin sur le dictionnaire philosophique de voltaire et j rien compris comment je travail un dissertation pouvez vous m’aidé et me donner quelques exemples

s il vous plait ameli demain j ai un devoir mais c prevu d avoir une dissertation concernat la peste d albert camus pouvez vous m aider et me donner quelque exemple de dissertation analysée à propos la peste /merci bcp

Je ne peux pas te faire plusieurs dissertations sur La Peste en une soirée 😉 Pour réviser, revois les enjeux de cette oeuvre, son thème, le symbolisme de le peste dans le roman et visionne également ma vidéo sur l’absurde chez Camus .

Merci beaucoup pour cet exemple de dissertation ! J’aimerais savoir si il était possible d’avoir une méthode et/ou un exemple de rédaction d’introductions de dissertations.

Merci pour tous vos articles encore une fois !

Bonjour, je suis en 1ere ES et je commence a découvrir la dissertation sauf que je n’arrive pas a trouver un plan convenable… Malgré de longue recherche, il y a beaucoup de possibilité. Le sujet donné est le suivant: « Dans cette oeuvre les indiens du nouveau monde, des hommes comme les autres ?  » l’oeuvre en question est la pièce de théâtre « La controverse de Valladolid » de Jean-Claude Carrière. je sais déjà que c’est un plan dialectique que je dois utiliser. il faut je pense parler des colonisations des années 1500. Mais impossible de trouver un plan … pourriez-vous m’aider s’il-vous-plais ?

Je ne peux pas faire d’aide sur mesure pour vos devoirs. Un plan dialectique est tout à fait envisageable pour ce sujet, mais c’est en réfléchissant sur l’oeuvre de J.C. Carrière et sur les différentes façons dont les indiens y sont caractérisés que tu parviendras à répondre à cette question.

Merci beaucoup 🙂

j’ai une dissertation à faire c’est urgent et j’ai besoin d’aide voici le sujet : Dissertation sur l’argumentation Vous direz quels types de textes argumentatifs (apologues ou argumentation directe) vous préférez, en expliquant pour quelles raisons. Vous développerez trois arguments et trois exemples dans chaque partie. vous prendrez vos exemples dans les textes et oeuvres lus et étudiés en cours

Bonjour Amélie !

J’ai découvert votre blog il y a quelques mois de cela et il est vraiment TOP ! Demain, je pars dans l’optique de choisir la dissertation car durant l’année, j’ai eu les meilleurs notes dans ce sujet mais c’est aussi parce que j’apprécie la dissertation. Par contre, notre prof nous a dit que nous étions obligés de reformuler une problématique à partir du sujet. J’ai donc un doute maintenant. Selon le correcteur, y a-t-il une chance de perdre des points parce que nous avons repris la question posée par le sujet ?

Merci d’avance !! 🙂

Bonjour amelie, j ai un sujet de dissertation que je ne comprend pas pourriez vous me l expliquer ? Le sujet est : quelle place, la representation theatrale laisse elle a l imaginaire du spectateur ? Merci d avance

Merci ! Je cherchais un exemple de dissertation afin de m’améliorer !

bonjours, je me pose une question, comment peut t’on présenté clairement nos différente partie alors que ces dernière doivent être rédigé ? en somme, comment faire une syntaxe de notre plan ?

Est ce que dans A du grand II, personnage psychologique, nous pouvons donner comme exemple La princesse de Clèves de Madame de Lafayette et aussi Jeanne dans Une vie de Maupassant ?

Ps: la Dissertation permet-elle réellement d’avoir une bonne voir très bonne note par rapport au commentaire ? Dans quel mesure prendre le commentaire ? Merci encore

Bonjour, Amélie voila je suis en 1 ère et le bac arrive a grand pas et j’hésite a choisir le commentaire ou la dissertation. Car j’ai eu 8.5/16 en dissertation au 2ème bac blanc alors que j’avais eu 15/20 au 1er. Mais pour le commentaire j’ai beaucoup de difficulté j’ai fait 4 commentaire dans l’année et pour tout les 3 j’ai eu en dessous de la moyenne et 1 seule ou j’ai eu 12/20 sachant que c’était un dm. Mais le problème c’est que j’ai peur de ne pas avoir assez de connaissance sur le sujet proposé. J’aimerais aussi savoir, si vous aviez une idée concernant les genres / thèmes susceptibles de tombées et les question qui permettrait d’orienter mes révisions car je ne sait pas trop comment et quoi réviser( ex: théâtre: Les Metteurs en scène sont il des artistes a part entière ? ) Merci

Est ce qu’il aurait été possibles en ce qui concerne les personnages réalistes de parler des romans naturalistes et réalistes ?

bonsoir j’ai trouvé un bon sujet de dissertation mais pas la réponse si vous pourriez m’aider alors c’est est ce qu il faut comprendre la poésie ?

bonsoir, je vous écris pour vous remercier car je ne sais pas si il y a un lien mais depuis que je suis la formation gratuite mes 8 en contrôle et 8.5,9 en bac blanc se sont transformés en 13 en dissertation en classe et 13 au dernier bac blanc et ces vidéos m’ont donc été bénéfiques.

Bonjour Amelie j’ai bientôt un bac blanc . Et ma prof de français nous conseille de choisir la dissertation . Mais la question de dissertation me paraît souvent difficile . Dans quel cas puis je la prendre ou pas ? Merci d’avance .

Bonsoir Hayete, La dissertation est un bon choix quand on sait dérouler un raisonnement pour répondre à une question (il faut être très logique et maîtriser l’art de la nuance) et lorsqu’on a de solides connaissances littéraires. En effet, une dissertation où vous ne citez que le textes du corpus (faute d’en connaître d’autre) est pauvre et peu convaincante. Aussi, choisis la dissertation si tu es à l’aise avec cet exercice et si tu es capable de justifier tes idées avec des exemples variés et précis. Autrement, il est plus intéressant de se tourner vers le commentaire littéraire.

Bonjour, Il y a 3 jours, nous avons eu un bac blanc où j’ai pris la dissertation et je me rappel du mois de novembre avec le première où j’avais pris la dissertation également, sauf que je me souviens que d’après le correcteur je détournais le sujet: la question était « faut t-il qu’un personnage prenne la parole pour exister? » et l’objet d’étude le théâtre, et j’ai dis comme problématique reformulée que « nous allons nous demander si les acteurs doivent obligatoirement utiliser le texte pour faire passer un message » car pour moi, le fait d’exister signifiait, jouer son rôle qui est à travers une histoire et un contexte de faire passer un message. Merci d’avance

Bonsoir Marc-Antoine, Effectivement, ta problématique dénaturait le sujet. Dans une dissertation, la problématique est une reformulation du sujet qui met en valeur le paradoxe ou les enjeux de ce dernier; mais elle ne doit pas transformer le sujet . Si tu as trop de doutes sur ta problématique, le mieux est de garder le sujet tel quel (à votre niveau, c’est acceptable).

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I. Travail préparatoire

Comprendre le sujet. En vue d'identifier le sujet qui vous est soumis et d'éviter tout hors-sujet, vous devez d'abord étudier soigneusement la manière dont ce sujet vous est posé, c'est-à-dire chercher à comprendre exactement ce qui vous est demandé . Or cela ne va pas, dans certains cas, sans difficultés.

Délimiter le sujet . Généralement, la difficulté porte sur les limites du sujet . Or, il est capital de ne pas laisser de côté ce qui fait partie du sujet et de ne pas traiter ce qui est en dehors. Réfléchissez donc longuement et surtout abstenez-vous de la méthode pratiquée par certains qui, estimant leur disseration trop brève, la complètent en ajoutant, de propos délibéré, des développements qu'ils savent étrangers à la question. Leur calcul est faux, et le résultat produit, directement inverse de ce qu'ils escomptaient. Si vous hésitez sur le contenu du sujet, indiquez votre hésitation.

Rassembler ses connaissances . Une fois que vous avez précisé et limité le sujet, vous pouvez utiliser  votre mémoire. Essayez de vous rappeler dans quels passages du cours ou de l'ouvrage que vous avez étudiés, des développements ont été consacrés à la question que vous devez traiter. Bien souvent, il vous faudra chercher à droite et à gauche. Le sujet n'aura pas été nécessairement exposé sous la forme dans laquelle il vous est proposé. Il vous faudra souvent puiser les éléments de votre dissertation dans deux ou plusieurs chapitres différents de votre cours. Presque toujours, vous aurez à vaincre cette difficulté lorsque la dissertation portera sur une comparaison entre deux institutions. Notez en quelques mots les différentes questions relatives au sujet, qui vous reviennent en mémoire. Notez aussi tout de suite les numéros d'articles et les dates que vous pouvez avoir à citer; vous risqueriez par la suite, en raison de la fatigue ou de l'énervement qui est susceptible de vous gagner, de ne plus les retrouver.

Vous avez maintenant réuni tous les éléments avec lesquels vous allez bâtir votre dissertation. Reste à savoir sur quel plan vous allez construire l’édifice.

Construire un plan . Ici encore, réfléchissez longuement. La question du plan est primordiale et elle se pose même si le sujet a été traité dans le cours, parce que, dans le cours, il était lié aux développements qui le précédaient et le suivaient, tandis que cette fois-ci, il doit être présenté d'une manière indépendante. Ne craignez d'ailleurs jamais de choisir un plan autre que celui de votre cours ou de votre manuel: on vous saura gré de faire preuve d'originalité dans cette question du plan, qui est le critère un des sérieux sur lequel on juge la valeur d’un candidat. Ne poussez pas tout de même hors des limites raisonnables ce souci d’originalité.

II. Conception du plan

Dans tous les exercices qui vous sont proposés, un plan vous est nécessaire : dissertation écrite, commentaire d'une décision de jurisprudence, exposé oral, etc.

Arrêter un plan rigoureux, logique et cohérent, c'est fixer l'ordre qui sera suivi pour exposer le sujet étudié, c’est construire une œuvre originale.

Jusque-là, vous n'avez guère fait qu'emprunter à la pensée des autres. Cette pensée, elle est là dans votre dossier, désarticulée en menus morceaux. À vous de ressouder ces fragments. Après l'analyse, la synthèse.

Définir les questions à approfondir . Commencez par vous demander si toutes les questions que vous avez retenues méritent vraiment d'êtres traitées. Entrent-elles toutes dans le sujet ? Puis, parmi les questions retenues, fixez celles qui seront en quelque sorte le centre de votre exposé, celles auxquelles vous vous consacrerez particulièrement, celles que vous développerez. Qu'il s'agisse, dans toute la mesure du possible, de questions qui permettent une discussion, car, plus la part de la discussion sera grande dans votre travail, plus vous intéresserez. Qu'il s'agisse aussi, autant que faire se peut, de questions nouvelles, par exemple tranchées par des arrêts récents : on vous sera toujours reconnaissant de rajeunir le sujet. Tâchez surtout, dans cette recherche des questions à approfondir, de deviner pourquoi le sujet vous a été donné et de mettre en valeur le problème qui est à l’origine de votre sujet. Vous savez maintenant ce qui doit faire partie de votre travail. Reste à fixer l’ordre des développements.

A. L’introduction

Tout plan comporte une introduction et une conclusion.

Définir et délimiter le sujet à traiter . Dans l'introduction, la première chose à faire est de définir et délimiter le sujet que l'on traite afin que le lecteur sache de quoi il va être question. En délimitant le sujet, expliquez-vous sur les raisons qui vous ont fait rejeter telle ou telle question, si vous éprouvez quelque inquiétude de l'avoir laissée de côté. On pourra, dans ce cas, critiquer votre choix, mais non, ce qui serait beaucoup plus grave, vous reprocher une omission par ignorance.

Lorsque des textes législatifs commandent le sujet, citez-les tout de suite. Quand un texte existe, il emporte tout. Il faut donc qu'on le connaisse dès l'abord.

Démontrer l'intérêt du sujet . Montrez, afin que l'on s'attache à vos développements, pourquoi le sujet mérite d'être examiné. Efforcez-vous d’en dégager les intérêts théoriques et pratiques. Si l’histoire du sujet mérite qu'on s'y attache — et elle le mérite souvent — placez-la dans l'introduction. Encore ne faut-il pas que son importance soit telle qu'elle commande le sujet tout entier, auquel cas sa place n'est plus dans l'introduction, mais dans le corps même du développement.

Vous pouvez aussi parfois donner dans l'introduction des indications sur le droit comparé ou, plus modestement, exposer la solution de certains droits étrangers.

Annoncer clairement les idées directrices . Mais l'essentiel est, dans l'introduction, d'annoncer les idées directrices de votre sujet, celles que vous avez dégagées de l'étude que vous avez faite et dont vous allez démontrer la réalité dans le corps de vos développements ; celles sur lesquelles vous vous efforcerez de construire votre plan, le fil conducteur de votre travail. Pour que l'on puisse vous suivre, il faut qu'on les connaisse. Ne laissez pas à votre lecteur le soin de découvrir peu à peu ce que vous ne lui révélez qu'en terminant. Ne craignez pas de dire tout de suite où vous allez, car nul ne fera l'effort nécessaire pour le deviner : vous n'écrivez pas un roman policier !

A nnoncer clairement, le plan choisi, à la fin de l’introduction, avant d’aborder la première partie. Beaucoup d’étudiants croient devoir commencer leur travail par l’annonce du plan. C’est une grosse erreur, car le sujet étant alors inconnu du lecteur ou de l’auditeur, celui-ci n’est pas à même de comprendre sur quoi repose la construction.

B.      La division des parties

Quel va être le plan ? Comment allez-vous diviser le corps du sujet, le construire ?

Puisqu’il s’agit d’un travail relativement bref, il ne faut pas plus de deux ou de trois parties. Chacune de ces parties doit, quant à elle, être subdivisée en deux ou trois sous parties. Formellement le plan se présente donc de cette façon :


A. (Intitulé de la première sous-partie)
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)

 


A. (Intitulé de la première sous-partie)
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)

Arrêter des subdivisions constituant un ensemble cohérent. Pour chacune de vos divisions et subdivisions, l'ordre selon lequel seront présentées les différentes questions que vous y faites entrer, doit être rigoureux et logique. Cela signifie que ces divisions, bien qu'elles demeurent distinctes, doivent former un ensemble : il ne faut pas creuser un fossé entre chacune d'elles. Il importe de préciser que trop de divisions et subdivisions empêchent, de suivre le développement, car pour suivre, il faut garder le plan toujours présent à la mémoire, et comment le faire si ce plan est un arbre aux rameaux touffus ?

Dégager du sujet l’idée générale, fondement du plan. Examinez quelles sont les questions que vous avez désignées pour être spécialement développées. Elles doivent être réparties entre les grandes divisions de votre travail. Il en faut au moins une dans chacune des parties. Cet examen va déjà probablement vous guider quant au plan à adopter.

Dans toute la mesure du possible, le plan doit être commandé par l'idée générale qui domine le sujet . Ce sont les branches de cette idée qui doivent vous donner la trame. Et tout est parfait si ces deux branches s'opposent.

La recherche de l'originalité ne doit pas toutefois vous conduire à l'obscurité . La première qualité d'un plan est d'être fondée sur une idée claire, facile à saisir et à retenir.

Si vous ne pouvez pas dégager de votre sujet une idée générale susceptible de servir de base à votre plan, vous avez bien des chances de tomber dans un plan « passe-partout ». Efforcez-vous alors de 1'« habiller », ou plutôt de le « déguiser », en choisissant un intitulé qui le rajeunira, en le dissimulant derrière un semblant d'idée générale.

Souvent l'intitulé même du sujet paraît contenir un plan. N'adoptez ce plan sans réfléchir longuement, car le plus souvent, il ne vaut rien. Par exemple, si on vous demande d'exposer « les avantages et les inconvénients » d'une institution, n'adoptez jamais cette division, qui vous exposerait à des redites.

C'est, en effet, une règle absolue à respecter : ne jamais choisir un plan tel qu'il oblige à reprendre dans la seconde partie ce qui a été développé dans la première et inversement.

Lorsque vous avez à comparer deux institutions, ne consacrez pas la première partie à l'une et la seconde à l'autre, pour vous contenter dans la conclusion de relever les ressemblances et les différences. Tout votre travail doit être, dès le début, consacré à comparer. Cherchez donc les idées générales qui gouvernent la comparaison ou les points principaux sur lesquels le rapprochement des deux institutions présente un intérêt, et bâtissez là-dessus votre plan.

Lorsque vous avez à faire une étude critique d'une institution, un plan « passe-partout» consiste à montrer, dans une première partie, comment fonctionne cette institution en soulignant ses inconvénients, pour tracer les remèdes à apporter, dans une seconde partie où l'on placera l'étude des projets déposés et du droit comparé. Essayez de trouver mieux en tachant de fonder votre plan sur une idée générale.

Autre règle : il n'y a pas qu'un seul plan possible par sujet. On peut en découvrir souvent un grand nombre qui sont acceptables ; les rechercher et en comparer les mérites constitue un excellent exercice.

Annoncer avec cohérence l’enchaînement des divisions . Vous avez adopté une division. Vous l'avez annoncée, en la justifiant, à la fin de votre introduction. En abordant la première partie, indiquez le titre de cette partie. Puis, avant d'écrire l'intitulé de la première sous-partie, annoncez, dans un « chapeau » de deux ou trois lignes les sous-parties qui vont être traitées dans la première partie.

Enfin, entre les sous-parties et, surtout, entre les parties, il convient d'effectuer une rapide transition. Transition qui vous permettra d'établir, voire de justifier, le lien entre les développements qui précèdent et ceux qui vont .suivre. Ces transitions révèlent la cohérence de votre plan, attestent la logique de votre démonstration. Elles ont donc une importance primordiale et vous permettront, lorsque vous les rédigerez, de vérifier la qualité de votre plan.

Formellement, la structure formelle de votre travail doit donc apparaître de la façon suivante:


▪ Explication du sujet
▪ Délimitation du sujet
▪ Premières vues sur le sujet

 


▪ Mise en perspective du sujet :
– perspective théorique
– perspective pratique
– données historiques
– données de droit comparé
▪ Incursions dans d'autres disciplines (morale, philosophique, sociologique, économique).

 


Annonce du plan
(Intitulé de la première partie)
(Annonce des sous-parties)
A. (Intitulé de la première sous-partie)
entre les sous-parties
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)
entre les parties
(Intitulé de la seconde partie)
A. (Intitulé de la première sous-partie)
entre les sous-parties
B. (Intitulé de la seconde sous-partie)
Conclusion

C. La conclusion

Justifier l’exactitude des idées développées . Il vous reste maintenant à conclure. La conclusion doit contenir le résultat de votre travail. Résumez donc l'essentiel de ce qui se dégage de votre étude. Sans doute, vous avez déjà, dans l'introduction, signalé les idées générales qui gouvernent le sujet. Mais, à ce moment-là, vous les avez simplement annoncées, sans les justifier. Vous avez demandé que l'on vous fasse crédit. Maintenant, vous avez tenu votre pro messe et vous vous justifiez de l'avoir tenue. Ce que vous devez faire apparaître dans la conclusion, c'est donc précisément que vous avez démontré l'exactitude des idées avancées, que ces idées découlent de vos développements.

III. Rédaction

Rédiger clairement et avec rigueur . Vous avez consacré la première heure au travail préliminaire (compréhension et détermination du sujet). Consacrez les deux autres à la rédaction. Suivez votre plan pas à pas. Annoncez-le dès la fin de l’introduction. Cherchez avant tout à être clair. Pour y parvenir, choisissez les termes exacts : le langage juridique est un langage précis et tâchez d'écrire des phrases élégantes (surtout ne rédiger pas en style télégraphique) : posez nettement les questions que vous examinez ; présentez avec force les arguments que vous faites valoir et défiez-vous de la subtilité, car elle est l’ennemi de la rigueur et de la clarté.

Efforcez-vous d'écrire lisiblement (ne parlons pas de l'orthographe : vous êtes censé la connaître ; mais n'oubliez pas qu'une méconnaissance trop grande de ses règles est susceptible de vous conduire à un échec). Que votre plan saute aux yeux du lecteur : pour cela, n'hésitez pas, soit à souligner dans le texte les titres de votre division principale, soit à les faire déborder dans la marge (ex. : I. Caractères. II. Effets). Mais n'abusez pas de cette méthode : votre composition ne doit pas ressembler à un tableau synoptique. Qu'elle soit « aérée » et non compacte : n'hésitez pas à aller à la ligne chaque fois que vous abordez une question nouvelle. Avant de vous dessaisir de votre copie, relisez-la.

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De l'argumentation à la dissertation. Analyse d'une démarche d'apprentissage

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  • Référence bibliographique

Delcambre Isabelle. De l'argumentation à la dissertation. Analyse d'une démarche d'apprentissage. In: Pratiques : linguistique, littérature, didactique , n°68, 1990. Disserter? pp. 69-88.

DOI : https://doi.org/10.3406/prati.1990.1624

www.persee.fr/doc/prati_0338-2389_1990_num_68_1_1624

  • RIS (ProCite, Endnote, ...)

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Le propos de cet article (*) sera d’envisager quelques conditions à l’ «apprentissage de la dissertation » , en classe de seconde. La classe dont il va être question ici est une classe de seconde très ordinaire d’un lycée de bon niveau (1). Je ne prétends pas, loin de là, rendre compte d’un apprentissage réussi pour tous, mais simplement, clarifier les objectifs d’un tel apprentissage, quelques unes de ses étapes, des lieux problématiques, etc. Il faut d’emblée préciser que ce que j’entends par dissertation n’est ici que la discussion, selon les termes canoniques, associée au résumé de texte de l’épreuve N º 1 du Bac. Dissertation (2) portant sur des «sujets d’intérêt général » , non littéraires, proches souvent du sujet de réflexion au Brevet des Collèges. Le risque est grand donc, comme le signale M. Charolles dans son article liminaire, d’amener les élèves à «disserter sur le sexe des anges » , puisqu’ils n’ont qu’à se référer aux lieux communs en vigueur. A la différence de la dissertation littéraire pour laquelle l’enseignant peut avoir l’impression qu’un certain «savoir » est construit dans la classe (ou parallèlement, si l’on considère PRATIQUES N° 68, Décembre 1990

DE L’ARGUMENTATION À LA DISSERTATION. ANALYSE D’UNE DÉMARCHE D’APPRENTISSAGE

Isabelle DELCAMBRE

(*) Je tiens à remercier Dominique Guy BRASSART, Pierre DELCAMBRE et Michel CHAROLLES pour leurs lectures de ce travail et leurs propositions de clarifications et d’améliorations. (1) Quelques chiffres : en fin d’année scolaire, sur 34 élèves, 8 ont été proposés au redoublement, 8 ont été orientés en première G, 7 en première S, 10 en première B, aucun vers une première A. (2) Je maintiens le terme ; certes, il est absent des I. O. et quasi interdit d’usage par la hiérarchie pédagogique. Cependant, il fleurit dans les discours de chacun, professeur ou élève, et son existence est amplement attestée dans les manuels, dans les publications parascolaires des principales maisons d’édition. Cela dit, cette revendication terminologique n’est pas une simple provocation ; elle permet de désigner sous un terme presque générique la multitude d’écrits d’examens qui obéissent aux mêmes règles de production et cependant se voient attribuer des dénominations parfois fort contrastées. Que l’on mette en parallèle la discussion et la composition française sur un sujet littéraire au bac, le sujet de réflexion au brevet, le commentaire au B. E. P., ou dans le domaine des formations professionnelles, le devoir de bibliothéconomie au C. A. F. B. (Certificat d’Aptitude aux Fonctions de Bibliothécaire), le devoir de psychopédagogie au D. E. E. S. (Diplôme des Educateurs Spécialisés), etc. Autant d’appellations différentes qui partagent un certain nombre d’attentes identiques quant à l’écrit à produire, autres que la simple correction linguistique, même si la formation professionnelle implique certaines spécifici tés, notamment dans la gestion du destinataire (cf. Delcambre, P., 1989 et CHANTRAINE 1990).

dissertation et argumentation

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Comment rédiger une dissertation

Comment rédiger une dissertation

  • L'équipe éditoriale de Smodin
  • Mise à jour : 13 août 2024
  • Guide de l'élève pour la rédaction

Il existe de nombreux types de dissertations que les étudiants doivent rédiger, et l'une d'entre elles est la dissertation expositive. Dans ce type de dissertation, vous devez présenter des informations factuelles de manière claire et logique, afin de faciliter la compréhension du sujet par votre public.

Vous voulez apprendre à rédiger une dissertation qui vous impressionnera ? Ce guide vous apprendra tous les trucs et astuces pour vous aider à rédiger une dissertation à l'aide d'instructions détaillées étape par étape. C'est parti !

Un bureau en bois avec des feuilles de papier, des livres, une pomme, une horloge et un encrier avec une plume.

Introduction aux dissertations

Les dissertations expositives offrent une manière structurée de présenter l'information, en veillant à ce que les lecteurs puissent saisir des idées complexes par le biais d'un format logique et organisé. Elles se concentrent essentiellement sur l'explication d'un sujet particulier.

Ce type de dissertation est le plus courant dans les établissements d'enseignement, où il sert d'outil d'évaluation de la compréhension d'un sujet par les étudiants. Il donne l'occasion aux élèves de montrer leur capacité à communiquer clairement cette compréhension.

Pour les professionnels, la capacité à rédiger des dissertations claires et concises peut améliorer leurs capacités de communication et d'expression. essay-writing skills Ils peuvent faciliter la transmission d'informations techniques ou expliquer des processus de manière simple. Ils peuvent faciliter la transmission d'informations techniques ou expliquer des processus de manière simple.

Selon un article publié dans la revue Journal of Technology and Science Education En ce qui concerne l'opinion des étudiants sur leurs compétences en matière de rédaction d'essais, 50 % d'entre eux ont déclaré avoir une aptitude moyenne à la rédaction d'essais. Il est donc important de comprendre comment rédiger une bonne dissertation si l'on veut améliorer ses compétences au-delà du niveau moyen.

Un carnet ouvert avec quelques notes et un stylo dessus.

Qu'est-ce qu'une dissertation ?

Les dissertations expliquent un sujet ou un concept à l'aide de faits et de preuves, et la définition de la dissertation n'est donc pas trop complexe à comprendre. Contrairement aux dissertations persuasives ou argumentatives, les dissertations expositives ne visent pas à convaincre le lecteur d'un point de vue particulier. Au contraire, elles fournissent une explication équilibrée et complète du sujet.

Un essai expositif est axé sur la clarté et le détail. Les sujets complexes sont décomposés et deviennent ainsi plus accessibles au lecteur. Les dissertations sont utilisées dans le cadre universitaire pour tester la compréhension d'un sujet par les étudiants et leur capacité à transmettre des informations de manière claire.

Maintenant que vous savez ce qu'est une dissertation, nous pouvons examiner les différentes formes de ces dissertations, chacune ayant un objectif unique. Voici quelques-uns des types de dissertations les plus courants :

  • Essais de définition : Un essai de définition définit un terme ou un concept spécifique. Il va au-delà des définitions des dictionnaires et permet d'approfondir la compréhension en explorant la signification et le contexte du terme.
  • Essais de classification : Ces essais classent les sujets en différents groupes ou types. Chaque catégorie est expliquée avec ses caractéristiques distinctes et la manière dont elle s'inscrit dans un sujet plus large.
  • Essais de processus : Également connues sous le nom de dissertations "comment faire", elles fournissent des instructions étape par étape sur la manière d'accomplir une tâche ou un processus particulier. Un essai de processus est pratique et direct et vise à guider le lecteur à travers une série d'actions pour atteindre un résultat spécifique.
  • Compare-and-contrast essays : Ce type de dissertation permet d'approfondir les similitudes et les différences entre différents sujets. Un essai de comparaison et de contraste aidera les lecteurs à comprendre les sujets les uns par rapport aux autres et à mettre en évidence les points clés de la comparaison et du contraste.
  • Dissertations de cause à effet : En rédigeant ce type de dissertation, vous explorez en profondeur les liens entre les événements ou les phénomènes. Ils expliquent comment un événement en entraîne un autre et détaillent les causes et les effets dans une séquence logique.

En se concentrant sur les informations factuelles et la structure logique, les dissertations permettent aux auteurs de présenter une analyse approfondie de leur sujet. Cette approche aide les lecteurs à acquérir une compréhension claire et complète du sujet traité.

L'objectif de la rédaction d'un exposé

Bien que l'exposé puisse être utilisé pour divertir ou persuader un lecteur, il sert principalement à fournir des informations. Une dissertation bien rédigée démontre l'expertise de l'auteur sur le sujet et l'explique en détail.

L'objectif principal de la rédaction d'un exposé est de transmettre des informations de manière concise. Comme nous l'avons vu précédemment, les dissertations peuvent être utiles aux universitaires et aux professionnels. Voici quelques objectifs clés de la rédaction d'exposés :

  • Informer : Les essais expositifs fournissent aux lecteurs des informations essentielles sur un sujet. Il peut s'agir de processus scientifiques ou de procédures techniques. L'objectif est d'améliorer la connaissance et la compréhension du sujet par le lecteur.
  • Expliquer : L'écriture expositive décompose des idées complexes en éléments plus simples et plus faciles à gérer. En expliquant comment les choses fonctionnent ou pourquoi certains événements se produisent, ces essais rendent des concepts difficiles plus accessibles au lecteur.
  • Clarifier : Il arrive que des sujets soient mal compris ou mal présentés. Les dissertations visent à clarifier ces sujets en présentant des faits exacts et des explications logiques. Cela permet de dissiper les idées fausses et d'offrir une perspective claire et impartiale.
  • Décrire : Les dissertations peuvent également décrire en détail un processus ou un phénomène particulier. Il s'agit notamment de décrire les étapes du processus et leur importance.
  • Analyser : L'écriture expositive implique souvent l'analyse d'informations afin de découvrir des idées plus profondes. Il s'agit par exemple d'examiner des données et d'explorer les relations entre les variables.

En se concentrant sur ces objectifs, les dissertations expositives peuvent aider les lecteurs à acquérir une compréhension approfondie et précise du sujet traité.

Si vous décrivez un processus technique, l'objectif est de fournir une vue d'ensemble claire et complète du sujet. Dans ce cas, vous devez également veiller à ce que votre essai comporte une good writing flow . À la fin de l'essai, le lecteur devrait avoir considérablement amélioré sa connaissance et sa compréhension du sujet.

Une femme écrit des notes sous un titre qui dit &quot;Mon plan&quot;.

6 étapes essentielles à suivre pour rédiger une dissertation expositive

Une bonne compréhension de la structure d'une dissertation permet d'organiser l'écriture et d'assurer un flux logique de l'introduction à la conclusion. Voici les étapes à suivre pour rédiger une dissertation.

Étape 1 : Choisir un sujet approprié

Choisissez un sujet à la fois intéressant et gérable. Veillez à ce qu'il soit suffisamment spécifique pour être traité en détail, mais suffisamment large pour fournir de nombreuses informations.

Étape 2 : Effectuer des recherches approfondies

Rassemblez des sources fiables pour étayer votre essai. Utilisez des revues spécialisées et des livres pour trouver des informations factuelles. Prenez des notes, organisez vos recherches et faites-y référence.

Étape 3 : Créer un plan de dissertation

Un plan vous aidera à structurer votre essai de manière logique. Il comprend généralement trois parties : une introduction, des paragraphes et une conclusion.

Étape 4 : Rédiger l'introduction

L'introduction doit attirer l'attention du lecteur et fournir des informations générales sur le sujet. Elle doit se terminer par un énoncé de thèse clair qui souligne les principaux points de l'essai.

Étape 5 : Élaboration des paragraphes du corps de texte

Chaque paragraphe du corps doit se concentrer sur un seul point lié à l'énoncé de la thèse. Commencez par une phrase de sujet, fournissez des preuves à l'appui et expliquez comment elles sont liées à la thèse. Utilisez des mots de transition pour assurer une fluidité entre les paragraphes.

Étape 6 : Rédiger la conclusion

Le but de la conclusion est d'offrir un résumé des principaux points présentés dans l'essai. A good conclusion doit également fournir une réflexion finale ou un appel à l'action pour le lecteur.

Pour vous aider à mieux comprendre comment rédiger les différentes parties de ce type de dissertation, nous avons inclus ci-dessous quelques exemples de dissertations.

Comment rédiger l'introduction d'une dissertation ?

Imaginez que vous rédigiez une dissertation sur l'impact des médias sociaux sur la santé mentale. Votre paragraphe d'introduction devrait ressembler à ceci :

"Les médias sociaux font désormais partie intégrante de la vie moderne, influençant notre façon de communiquer, de partager des informations et de percevoir le monde. S'ils présentent des avantages, tels que la création de liens entre les personnes et la mise à disposition d'une plateforme d'expression personnelle, ils ont également des effets significatifs sur la santé mentale. Cet essai explorera tous les impacts des médias sociaux sur la santé mentale et examinera comment ils affectent l'estime de soi, l'anxiété et la dépression."

L'exemple ci-dessus est un bon exemple d'essai expositif si vous voulez écrire une introduction pour attirer l'attention de vos lecteurs.

Comment rédiger le corps d'un paragraphe dans une dissertation ?

Lorsque vous rédigez une dissertation, chaque paragraphe du corps doit fournir un examen détaillé d'un aspect du sujet. Par exemple, si votre essai porte sur l'impact des médias sociaux sur la santé mentale, vous pourriez avoir des paragraphes sur.. :

  • L'estime de soi : Discutez de l'influence des médias sociaux sur l'estime de soi, qu'elle soit positive ou négative.
  • Anxiété : Étudier le lien entre l'utilisation des médias sociaux et les niveaux d'anxiété.
  • Dépression : Analyser comment les médias sociaux peuvent contribuer à la dépression et proposer des solutions potentielles.

Par exemple :

"L'un des impacts les plus importants des médias sociaux sur la santé mentale est leur effet sur l'estime de soi. Des études ont montré que l'utilisation fréquente des plateformes de médias sociaux peut conduire à des sentiments accrus d'inadéquation et de faible estime de soi. Cela est souvent dû à la tendance à se comparer aux autres, qui peuvent présenter une version idéalisée de leur vie en ligne. Toutefois, les médias sociaux peuvent également renforcer l'estime de soi en fournissant une plateforme pour les commentaires positifs et le soutien des pairs."

Comment rédiger la conclusion d'une dissertation ?

La conclusion doit résumer les principaux points et laisser au lecteur une impression durable.

Vous trouverez ci-dessous un exemple de conclusion pour une dissertation qui interpellera le lecteur :

"En conclusion, les médias sociaux ont un impact profond sur la santé mentale, affectant l'estime de soi, l'anxiété et même la dépression. S'ils offrent des possibilités de connexion et d'expression personnelle, ils présentent également des risques importants. En comprenant ces effets et en promouvant des habitudes saines en matière de médias sociaux, nous pouvons atténuer leur impact négatif et en exploiter les avantages."

Une personne s'apprête à noter quelque chose dans un carnet qui se trouve à côté d'un smartphone et d'un ordinateur portable.

Comment rédiger une thèse pour une dissertation ?

L'énoncé de la thèse d'une dissertation est placé vers la fin de l'introduction. C'est l'un des aspects les plus difficiles d'une dissertation, et c'est pourquoi nous lui avons consacré une section distincte dans notre article.

Lorsque vous utilisez des énoncés de thèse, vous devez être en mesure d'expliquer votre sujet de manière complète et concise afin de fournir une réponse à votre question de recherche. À ce stade, vos compétences en matière de communication et votre capacité à décrire des concepts complexes de manière articulée devraient être assez bonnes.

Vous trouverez ci-dessous une procédure étape par étape pour rédiger une thèse pour une dissertation :

  • Sélectionnez votre sujet.
  • Réfléchissez à une question intéressante pour susciter l'intérêt de vos lecteurs.
  • Répondez à la question en vous basant sur ce que vous avez découvert dans votre essai, mais veillez à ce que votre réponse soit intéressante pour inciter votre lecteur à lire le reste de votre essai.

N'oubliez pas d'être concis lorsque vous rédigez des énoncés de thèse pour des dissertations. Il n'est pas nécessaire de trop expliquer, car cela pourrait lasser le lecteur et le dissuader de lire votre essai.

Questions fréquemment posées

Quel est l'objectif d'une dissertation .

L'objectif principal d'une dissertation est d'expliquer ou de décrire un sujet particulier à l'aide d'informations factuelles. Elle vise à informer le lecteur sans exprimer d'opinion personnelle.

Comment choisir un sujet pour ma dissertation ?

Choisissez un sujet qui vous intéresse et pour lequel vous disposez de suffisamment d'informations. Veillez à ce qu'il soit suffisamment spécifique pour être traité en détail, mais suffisamment large pour fournir un contenu abondant.

Qu'est-ce qu'un énoncé de thèse dans une dissertation ?

Un énoncé de thèse est un résumé concis des principaux points de votre essai. Il doit être clair et précis et décrire l'objectif de la dissertation et les points que vous allez aborder.

Quels types de preuves dois-je utiliser dans ma dissertation ?

Utilisez des preuves factuelles provenant de sources fiables telles que des revues académiques, des livres et des sites web réputés. Évitez d'utiliser des opinions personnelles ou des preuves anecdotiques.

Améliorez vos essais avec Smodin

La rédaction d'une dissertation est une compétence précieuse qui peut être utile aux étudiants comme aux professionnels. En se concentrant sur une présentation claire et logique des informations factuelles, les essais expositifs permettent aux rédacteurs de transmettre des sujets complexes d'une manière accessible et compréhensible.

Les dissertations expositives ont des objectifs variés, allant de l'information et de l'explication à la clarification et à l'analyse. Quel que soit l'objectif spécifique, le but principal reste le même : améliorer la compréhension du sujet par le lecteur.

Prêt à impressionner vos lecteurs avec votre dissertation ? Améliorez vos compétences en rédaction et créez une dissertation convaincante avec l'outil d'aide à la rédaction de Smodin. Join Smodin now et faites passer votre rédaction à la vitesse supérieure.

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